De l'usage de la notion de modernité : l'invention architecturale, de Suger à Gervase (1144-1174) - HAL Accéder directement au contenu
Communication dans un congrès Année : 2015

De l'usage de la notion de modernité : l'invention architecturale, de Suger à Gervase (1144-1174)

Résumé

Cette communication est issue de la nécessité d'assurer la place de l'histoire de l'architecture dans l'argumentaire de ce colloque. Mais l'inadéquation d'un questionnement du type "Nains ou géants" à la discipline a très vite surgi, aussi judicieux qu'il soit pour la culture du Moyen Âge. car, par définition, une architecture est nécessairement constituée de techniques maîtrisées et de techniques osées, de formes reconnues et d'un agencement inconnu. Plus encore : il n'existe pas d'expression artistique pour laquelle l'innovation soit autant liée de la contrainte. Les meilleures solutions architecturales résultent de gageures imposées par le terrain, l'emprise du bâtiment ancien, le matériau, l'absence de bois en quantité suffisante, la mémoire ou l'usage de l'éventuel bâtiment précédent ... Soit, en partie, le passé du lieu, ou plutôt un certain passé. En aucun cas on ne devrait rencontrer de formule complètement nouvelle matérialisant une idée, et encore moins à une envie de modernité.
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Dates et versions

halshs-01288150, version 1 (14-03-2016)

Identifiants

  • HAL Id : halshs-01288150 , version 1

Citer

Claude Andrault-Schmitt. De l'usage de la notion de modernité : l'invention architecturale, de Suger à Gervase (1144-1174). Actes de colloque international, CESCM, Jul 2011, Poitiers, France. pp.13-47. ⟨halshs-01288150⟩
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Dernière date de mise à jour le 07/04/2024
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