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, Poème du recueil A Witness Tree, vol.307, 1995.

, Le choix des quatre premiers recueils de Frost (A Boy's Will, publié en 1913, North of Boston en 1915, Mountain Interval, en 1916 et New Hampshire, en 1923), s'explique par la riche omniprésence de la thématique du voisinage en leur sein

, Flammarion, 1977) au chapitre 18, entre la mort à la première personne (celle du sujetmême), la mort à la deuxième personne (celle de celui qui nous est proche), et la mort à la troisième personne

. La-couverture-du-magasine-américain-«-time, du 9 octobre 1950 constitue un exemple de cette association constante, et présente la consécration du cliché littéraire poussé à son paroxysme, l'icône Frost étant entourée de tous ses attributs poétiques : the brook, birches, a stone wall

, Poème du recueil Steeple Bush, vol.351, 1995.

. Poirier, , p.351, 1995.

J. Estelle, Hall faisaient partie des véritables voisins de Frost dans sa ferme de Derry, dans le New Hampshire, où se joue cet échange

, « Elle s'absente à l'intérieur de notre rencontre », (poème IV-Noël, vol.12, 1971.

. Poirier, , p.365, 1995.

, Trois poèmes sont dédiés directement à Edward Thomas ou ont été écrits en réaction à sa mort, dans l'oeuvre de Frost : « To E.T » (dans New Hampshire), « A Soldier » (dans West-Running Brook) et « Iris by Night

R. On, E. Frost, and . Thomas, , 2004.

. Poirier, RÉSUMÉS Cet article souhaite reconsidérer la question des liens et des rapports de voisinage au sein de la poésie de l'américain Robert Frost. Ce voisinage, entendu comme l'ensemble des rapports existant entre les personae habitant à proximité les unes des autres dans les recueils, et également comme leurs rapports avec leur environnement direct, est un espace au sein duquel les liens de « Bad neighbors make good fencers, vol.120, 1995.

. Miranda, , vol.4, 2011.