H. Kindermann, Asad », EI 2 , I, pp. 702-704 ; p. 703 b : « Les shi'ites appellent ?Al? b. Ab? ??lib le, p.100

H. Massoudy, Calligraphie arabe vivante, Flammarion, pp.118-119, 0192.

C. Huart and . Sadan, 88 Ibid. il combat le serpent et le tue en présence de son oncle qui lui accorde la main de sa fille), p.512

. Au-début-de-la-maq?ma, . Bi?r-est-un-gueux, . Le-fut-tant, and . Qu, il n'avait pas trouvé la gnose » 105 . L'ayant trouvée, « pauvre il l'est encore tant qu'il n'a pas trouvé le disciple à qui en transmettre le dépôt » 106 . Toutefois, il a acquis tous les caractères du chevalier, Le chevalier, comme le montre H. Corbin, constitue un concept fondamental de la lecture ismaïlienne du monde : « il existe un lien essentiel et profond entre la spiritualité chiite et ismaélienne et l'idée de la fotowwat (persan javânmardî), terme qui connote à la fois l'idée de juvénileté spirituelle et de chevalerie

. La-figure-du-chevalier, .) adolescent imberbe éclatant comme un quartier de lune », n'en désigne pas moins, tout autant, le héros lui-même, à travers les parallèles et analogies qui le relient au jeune homme, archétype du disciple comme nous l'avons vu. C'est à ce juvénile chevalier que Bi?r doit, pour accomplir son propre destin, transmettre ce qu'il a acquis. Avant que cette transmission ne soit parachevée, la pauvreté allégorique (évoquée ci-dessus) s'exprime encore à

. Rempli-de-fierté,-la-bouche-pleine-de-jactance, Bi?r qui s'en retournait -avec son oncle déclara : « ô mon oncle, j'entends le bruit léger d'un gibier » (y? 'ammu 'inn? 'asma?u ?issa ?ayd)