, Marie est type de 1'Eglise, elle est mère, mais non de l'Eglise, mais mater fide- liunt>>4e.En 1964 et 1965, il défend le schéma sur la liberté religieuse avec d'autant plus de convictron que Ms' Lefebvre en fait l
, rt ainsi faire figure de « Père conciliaire moyen ou standard », comme il l'écrit après la troisième session, assidu aux leçons des théologiens, animé de « dispositions de simplicité, d'humilité, de loyauté, de respect des personnes >, qu'il associe au « vocable qui a fait fortune de "l 'Eglise des pauvres" >>'5r. Avec sa sensibilité, prudemment réformiste, p.16, 1962.
, Ses papiers conservent le texte de treize conférences qu'il a données entre 19'76 et 1978 sur les principaux textes conciliaires, un signe de sa fidélité à l'événement vécu à Rome entre 1962 et 1965q. L'expérience conciliaire de Ms' Bernard, religieux et évêque missionnaire , est singulière, comme toutes les expériences conciliaires-s-5. Archevêque deBrazzavtlle fragilisé par les conflits de l'indépendance du Congo, bientôt démissionnaire, il reste à l'écart de 1'affirmation, 1988.
, Le témoignagc de Me'Jauffrès, ancien évêque de Tarentaise " [à paraîtrc, Actes du colloque de Notre-Dame-du-I ,aus,20111. -56. En 1963, comparant deur articles s1'métriques rJe kt Croit, il exprime sa préfércnce pour la démarche de Mg' Maziels, auxiliaire dc Lyon, qui transmct « l'humble recherche d'un évêquc qui veut faire ploliter son peuple du concile >), alors que Ms'Zoa, archer
, Oïrtcina boLognese ct Vatican lI >>, Recherches de science reLigieuse. t. I 00, pp.11-25, 2012.