. Enfin, nous devons attacher la plus grande rigueur au processus de mise en données (du côté des professionnels de la numérisation et de l'archivistique) des sources primaires et à son analyse (du côté des chercheurs) si nous souhaitons que les investissements aujourd'hui fournis pour la numérisation de notre monde nous permettent d'aller au-delà d'une lecture humaine de la reproduction d'archives sur notre écran, La numérisation doit servir aux chercheurs, les aider à aller 18

T. Hitchcock, org/1-1/academic-history- writing-and-its-disconnects-by-tim-hitchcock/> [accessed 27 Plus récemment dans le cadre d'un colloque organisé par le CVCE : Tim Hitchcock, 'Big Data for Dead People: Digital Readings and the Conundrums of Positivism', Historyonics, Journal of Digital Humanities, 2011.

I. Milligan, Illusionary Order: Online Databases, Optical Character Recognition, and Canadian History, 1997???2010, Canadian Historical Review, vol.94, issue.4, pp.540-69, 1997.
DOI : 10.3138/chr.694

W. Le, Nombreux sont les corpus qui, numérisés avec les moyens technologiques disponibles au moment de leur mise en données, ont à la fois les mêmes forces et faiblesses. Il apparaît ainsi nécessaire que les institutions qui pilotent des projets de numérisation mettent au point une méthodologie de mise en données la plus rigoureuse possible au vu des moyens techniques qui sont à leur disposition et n'hésitent pas à re-numériser ou à revenir sur tout ou partie de la mise en données quand ces moyens évoluent