J. Roux, 93 et 94 Il faut entendre par « porc fin » une bête d'excellente qualité. 74. SRM

A. Tounissoux, ibid. : bouchers, mais aussi boulangers et épiciers, parcourent alors les hameaux en camionnette. 75, Agnès Pierron Le Bouquin des dictons, vol.3, issue.77, pp.515-516, 1938.

«. Mounassarias, ». , «. Pâtisserie-de-ménage, ». Apicula, ». Propos-philologiques et al., 32 : l'auteur rapproche ce terme de « mounassa », boulangère. Voir aussi Raymond Laborde, art. cit. : « mounassaria », « pâtisserie ». 97. Pierre L'Escurol, « L'Art culinaire en Limousin », Lemouzi, n° 147 Les tartes, non recouvertes de pâte, semblent avoir été d'abord présentes sur les tables bourgeoises, « Tartro », Nicolas Béronie, op. cit. 98. « Mounassarié », et sa forme limousine « mounassariò », apparaissent avec le sens de « friandise » dans Frédéric Mistral, Lou tresor dóu felibrige ou Dictionnaire provençal-français, p.10, 1909.

«. Ple-oure, ». , and N. Béronie, Il s'agit sans doute de la même période

«. Estso-ouda, ». , N. Béronie, ». Eschaudat, ». et al., Ces bouillies pouvaient être aussi de froment, d'avoine, de « miche » ou, en basse Corrèze, de maïs, 1998.

«. Far, ». Forci, ». , and N. Béronie, Lascoux-Germiniac, Topographie médicale du Bas-Limousin, 1787 : ce vent, qui souffle dès le mois de mars, peut compromettre aussi la récolte de blé noir au moment de la floraison ou quand les grains viennent juste de se former La marmite où l'on fait cuire la soupe peut être appelée l'ola (de la sopa) ou lo topin (d'où le verbe topinar, cit., p. 9. 107. SRM cuisiner, effectuer les tâches ménagères »). L'olada désigne à la fois les légumes ou « herbes potagères » qu'on met dans la marmite pour faire la soupe quotidienne et la quantité de châtaignes nécessaire pour un repas (Nicolas Béronie, op. cit., « O-oulado », « Oulo »), p.12, 1909.