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L. Tituteur and . Problème, c'est toujours de s'exprimer pour être compris et pour essayer de transmettre le savoir aux enfants qui nous sont confi és

Q. Alors, M. Fourgous-?-c'est-très, and . Intéressant, Tout à l'heure, M. Fillon nous disait : je vais vous éviter de faire une bêtise. Mais, là, évidemment, M. Fillon ne peut pas vous suivre, monsieur Fourgous, parce que vous affi chez trop clairement quelles sont vos intentions. Mais en même temps

, ceux-là mêmes dont je parlais tout à l'heure, qui n'en peuvent plus -je pense aux éboueurs, aux ouvriers de la voirie, à bien d'autres encore -, il dit ceci : « En cas de départ volontaire, à partir de soixante ans, ces salariés ne recevraient que l'indemnité de départ à la retraite, très inférieure, généralement, à l'indemnité de mise à la retraite. » Vous voyez, tout est dit. Et, monsieur le ministre, je comprends que vous ayez interdit aux députés UMP de parler et que seul Denis Jacquat soit investi de votre confi ance, Que dit M. Fourgous ? Dans l'exposé sommaire, alors qu'il parle de travailleurs qui sont usés

M. and D. Jacquat, Nous avons l'art de la synthèse ! M. Jean-Paul Garraud. Hors sujet !

M. Jean-pierre-brard and ;. Garraud, ? parce que dès qu'ils disent quelque chose, cela renforce le point de vue que nous défendons, Alors, je reconnais que M. Fourgous était sincère

M. and J. Brard, Ça, pour dire n'importe quoi, il y en a sur qui on peut compter, justement ! Enfi n écoutez, mon cher collègue, si on vous interdit de parler, du côté de l'UMP, il doit bien y avoir une raison ! M. Jean-Paul Garraud

M. and J. Brard, Fourgous, lui, a eu le courage de parler, et il a dit la vérité. Alors, il retire son amendement sous votre amicale pression, monsieur le ministre : évidemment, c'est parce qu'il dévoile ce qu, C'est pour éviter de dire des bêtises, comme dirait M. Fillon ! M

M. E. Raoult, Vous ne parlez pas, vous provoquez ! ITEM 4

M. La, M. Jean-pierre-brard, and ;. Brard,

, Mais il est un aspect de la démographie dont vous ne parlez jamais, et je le comprends puisqu'il dessert votre argumentation, c'est que la natalité est excellente en ce moment chez nous! M, Pierre Lellouche. N'importe q uoi ! D'où sortez-vous çà ? M. Jean-Pierre Brard. Je vous renvoie à l'INSEE et aux statistiques européennes. En descendance fi nale

M. Bernard-accoyer, R. , and ;. Brard, Et les études démontrent que si la demande d'équipement pour la petite enfance était satisfaite, les couples auraient un nombre d'enfants qui permettrait une descendance fi nale de 2, p.40

P. Lellouche, !. M. Mais-non, and . Jean-pierre-brard, Voilà de quoi fi nancer les retraites à l'horizon 2040 ! M. Bernard Accoyer, rapporteur. C'est faux !

M. Jean-pierre-brard, ;. An, J. O. Dp, and . Du, Or la reprise de la natalité est bien réelle dans notre pays depuis 1997-1998. Que cela bouscule vos plans et contrarie le discours fantasmatique que vous développez pour faire avaler la pilule amère à nos compatriotes, c'est certain. Que vous développiez ce discours, c'est logique, mais admettez au moins que vous racontez, comme on dit dans ma Normandie natale qui est proche de la Sarthe de M. Fillon, des « menteries, Monsieur Lellouche, qui veut noyer son chien l'accuse de la rage. Vous ne voulez pas voir ces horribles statistiques, 2004.