. Ibid and . Ii, , p.382

, conuentus ordinate per choros psalmum cantando et post illos cantores, ultimus autem sacerdos et in ecclesia sancti Petri circa fontes si adsint, honeste coopertos, fiat processionis stacio » (ibid., i, 165). 57. Ibid., ii, 233 58. Yannick veYrenCHe, « saint-ruf et la naissance, vol.16, p.13

R. Beatissimi, sollempnitas tanto dilectione feruenti nobis est celebranda quanto eius meritis et hic uiuimus et in futuro uiuere speramus. Paulus : Salutate Rufum electum et matrem eius et meam. Qui rufus ut Iheronimus ait interpretatur sanans uel reficiens nos » (Liber ordinis, ii, i, 233). une alternative était l'identification avec le fils homonyme de simon de cyrène (Yannick veYrenCHe, « saint-ruf et la naissance, p.25

, Yannick veYrenCHe, « saint-ruf et la naissance », art. cit, p.25

, on peut supposer que l'association de ruf avec la toute première communauté chrétienne dans l'urbs, s'accordait parfaitement aux objectifs d'une restauratio formae primitiuis ecclesiae qui résume l'un des aspects fondamentaux de la réforme dite « grégorienne » selon une lettre pontificale adressée, justement, à l'abbaye de saint-ruf à la fin du xi e siècle 63 . que dire donc de l'ordonnance de l'abbatiale de la fin du xii e siècle ? la seconde nef de l'église était-elle dédiée aux deux saints, ou à saint ruf en particulier, comme pourrait le suggérer l'organisation des célébrations liturgiques qui lui accordent une place bien plus éminente qu'à l'autel de saint-augustin situé de toute évidence au nord ? conservait-elle le souvenir matériel de la tombe du saint titulaire, voire un reliquaire ? s'agissait-il du successeur de l'église saint-Pierre qui semble avoir existé à proximité immédiate du prédécesseur de l'église actuelle, ou d'un édifice conservant son souvenir sous un autre vocable ? seules des fouilles archéologiques d'envergure permettraient de vérifier si l'ordonnance particulière de l'abbatiale entièrement rebâtie un siècle et demi après la fondation de 1039 pourrait remonter, vol.62

, Yannick veYrenCHe, « légats, évêques et chanoines? », art. cit, p.8

, 63. lettre d'urbain ii à l'eglise de rottenbuch

, et note 1. cf. andreas HartMann-virniCH, « Restauratio formae primitivis ecclesiae. la construction d'une mémoire : l'évocation des premiers temps chrétiens dans l'architecture du premier âge roman. l'exemple de la Provence », dans : claude carozzi et sho-ichi sato (s.) éd., Histoire, fiction, représentation, B d), reprenant les termes d'une bullet destinée à saint-ruf. cf. charles dereine, « l'élaboration du statut canonique des chanoines réguliers, spécialement sous urbain ii », dans : Revue d'Histoire de l'Eglise, vol.46, p.15, 1951.