. La-première-attestation and . Chez-bifrun, Biôs sun aquêls chi haun fam & sait sieua la giüstia), oriente vers le sens « désir » (cf. ci-dessous II.3) Mais le romanche ne semble pas connaître ce sens par ailleurs, et comme le début de vers en question traduit Beati qui esuriunt et sitiunt iustitiam (cf

*. /-'?min-e and /. , omen > port. homem, WilliamsPortuguese § 124), nous suivons WilliamsPortuguese § 46 et Machado in DELP 3 pour rattacher le cognat galégo-portugais à */'?am-e/ et non pas, comme le proposent REW 3 et FEW 3, 408a, à */'?amin-e/ (ci-dessous IV.). ? Pour

. Quant-À-dacoroum, foame s.f. « désir » (Cioranescu n° 3444

. Vinereanudic?ionar, en l'absence d'attestations anciennes, un calque du latin, de l'italien ou du français remontant probablement au 19 e ou au 20 e siècle. 8. Pour ce qui est de viv.-alp. fam s.f. « ambition, convoitise » (MoutierDauphiné > Mistral > FEW 3, 406a), il s'agit très probablement d, nous y voyons

. Pour-considérer-ce-vocable-comme-héréditaire and . Levi, da prov. m. famino, fr. famine " ) et von Wartburg in FEW 3, 408a, FAMES n. 1 (prob. < fr.) proposent d'y voir un emprunt, ce qui n'est nécessaire ni pour des raisons phonétiques ni sémantiques. Pour ce qui est de l'analyse du DEI ( " XX sec. ; diminutivo, vezzeggiativo di 'fame' ; v. del linguaggio infantile " ), elle ne tient pas compte de l'aréologie du type lexical. 10. Analysé comme un affaiblissement de sens idioroman ( " in der bed. abgeschwächt " ) par FEW 3, 406b. 11. La graphie de la première attestation est étonnante : si /n/ intervocalique s'amuït souvent devant, Pour des raisons aréologiques et sémantiques (trisémie), nous suivons DEDI le phénomène serait isolé devant, p.76

. Hwbrätoromanisch, attesté trop tardivement pour pouvoir être héréditaire, représente un italianisme, c.f. HWBRätoromanisch (von Wartburg in FEW 3, 408a, FAMES n. 1 y voit un francisme, tandis que Decurtins in DRG hésite entre un italianisme et un francisme). 13. La date de 1130/1140 donnée par le TLF renvoie à une attestation qui présente la forme famire

. Adacoroum, foamene s.f. « faim » (16 e s., DA = MDA) est un mot fantôme (cf. Dr?ganu,DR 1

. Cf and . Väänänenintroduction, Nous suivons Pu?cariu in EWRS et DA : leur explication convainc par son caractère unitaire (cf. le parallèle * REW 3 s.v. t?rmen/*t?rm?ne/*t?rm?te), et elle nous paraît plus puissante que ses concurrentes : (1) " *FOM?TAS < *FOMES unter dem Einfluss von S?CC?TAS > secet? " (Pascu 1, 87 ; de même Tiktin 1 -Tiktin 3 ) ; (2) < */'?omit-e/ « brindille » (ø REW 3 ; ø FEW), comme le proposent Candrea-Densusianu n° 623 et DDA 2 ; (3) croisement entre *, explication de Cioranescu n° 3444) ou encore (4) fausse régression à partir de fometos/f?metos/înfometat adj. « affamé » (Graur, pp.49-50

I. Le-corrélat-exact-du-type, est seulement attesté dans un manuscrit latin du 9 e siècle ( " familicus famen patiens 293) ; en revanche, *famen dans " cibi condimentum esse famen, potionis sitim, Cic