G. Sur-les-lectures-florentines-de, V. A. Villani, . Del-monte, X. La-storiografia-fiorentina-dei-secoli, X. ». et al., Chronicle into History : an Essay on the Interpretation of History in Florentine Fourteenth Century Chronicles Una ipotesi sui rapporti tra Ricordano Malispini, il Compendiatore e Giovanni Villani », Bullettino dell'Istituto storico italiano per il Medio Evo Qualche ipotesi sulla redazione delle cronache volgari nel Trecento dopo l'edizione critica della 'Nuova Cronica' di Giovanni Villani, Archivio storico italiano Secondo che raccontano le storie. Il mito delle origini cittadine nella Firenze comunale », Il senso della storia cit, pp.175-282, 1950.

F. Ragone, G. M. Villani-e-suoi-continuatori-cit, . Zabbia, . Notai-e-la-cronachistica-cittadina-italiana-del-trecento, ;. E. Rome et al., Storia e memori a Firenze ai primi del Duecento Les principaux textes publiés sont : SANZANOME, Gesta Florentinorum ab anno 1125 an annum 1231, éd. O. HARTWIG, Quellen und Forschungen zur ältesten Geschichte der Stadt Florenz, I, Marburg, 1875, p. 1-34 ; Cronica de quibusdam gestis Florentinorum, éd. A. DEL MONTE, dans La storiografia fiorentina dei secoli XII e XIII cit CESARI, dans Atti e Memorie dell'Accademia toscana di Scienze e lettere La Colombaria Cronica fiorentina del secolo XIII, longtemps attribuée au Pseudo Brunetto, éd. A. SCHIAFINI, Testi fiorentini del Dugento e dei primi del TrecentoFonti per la Storia dell'Italia medievale. Antiquitates 33). 14 -B. GUENÉE, Histoire et culture historique dans l'Occident médiéval, Nuovi studi storici 49) Il Libro fiesolano, éd. C. GROS, « La plus ancienne version du Libro fiesolano », Letteratura italiana antica La città come universo culturale e simbolico », Società e istituzioni nell'Italia comunale : l'esempio di Perugia (secoli XII-XIV) Mitografie della memoria urbana », Storiografia e poesia nella cultura medievale leggende di fondazione dal medioevo all'età moderna, pp.39-81, 1954.

L. Voir-aussi-plus-récemment, H. Faivre-d-'arcier, and . Et-géographie-d-'un-mythe, La circulation du De Excidio Troiae de Darès le Phrygien (VIII e -XV e siècle) 15 -Les références à la chronique sont dans ces pages fondées sur l'édition de G. PORTA, mentionnée note 1. Pour ne pas alourdir le texte d'une note à chaque citation, celles-ci sont automatiquement référencées entre parenthèses, le chiffre romain indiquant le livre, le chiffre arabe le chapitre. Voir dans les cas présents : I, 2006.

J. Lacy and . Camelot, The New Arthurian Encyclopedia, pp.66-67, 1991.

E. Avait-Été-utilisée, par exemple, par l'auteur d'une des lectures de Villani, la Chronica de origine civitatis Florentie

. La-principale-porte-de-la, en mémoire de Dardano, le nom qui avait été celui de la cité, c'est-à-dire Dardania (I, 12)

. Nombre-de-chefs-envoyés-par-rome, . Le-comte-rainaldo, . Cicéron, . Tiberino, . Macrino et al., laissèrent leur nom à un des éléments du relief qui constitue l'espace florentin, d'après Villani : « César établit son camp sur le mont qui était au dessus de la cité, qui est appelé de nos jours Monte Cecero, mais qui eut d'abord le nom de Monte Cesaro, à moins que cela ne dérive de celui de Cicéron. Mais on penche plutôt pour César, car c'était un plus grand seigneur dans l'armée. Rainaldo installa son camp sur le mont à l'opposé de la cité, au-delà du Mugnone, qui a été appelé ainsi jusqu'à nos jours ; Macrino se posa sur le mont qui porte encore ce nom ; Camertino s'installa dans la contrée qui

». Riflessi-locali, X. S. Società-e-istituzioni-dell-'italia-comunaleesempio-di-perugiasecoli, and R. Carocci, et « La mobilità della corte papale nel secolo XIII », Itineranza pontificia 29 -Et notamment la porte nord, surmontée après la conquête de la cité par Auguste, d'un arc qui porte son nom ; voir pour une première approche A. GROHMANNLe Città nella storia d'Italia), 4 e éd 30 -Qui portaient l'inscription « Eulistea Perusia » : A. I. GALLETTI, « La città come universo culturale e simbolico » cit., p. 476. 31 -La tradition historique locale rapporte que la ville fut fondée par Euliste sur un lieu environné de forêts, où il vainquit, en faisant appel à la virtus de ses aïeux, une ourse ou un couple d'ours, Pérouse La mobilità della curia papale nel Lazio Il aurait donc immortalisé son triomphe en donnant à la ville le nom « Per orsa », qui serait devenu progressivement « Peroscia » (voir A. I. GALLETTI, « Materiali per una storia del mito di fondazione di Perugia », Renaissance in honour of C.H. Smith La città come universo culturale e simbolico » cit, pp.155-278, 1981.

. Storia-di-orvieto, D. G. Ii-medio-evo, C. Della-fina, and O. Fratini, 33 -On mesure au nombre de chapitres que consacra Giovanni Villani à cette défaite ? pas moins de six longs chapitres du livre VII (75-81) ? son retentissement séculaire dans la mémoire et la conscience politique florentine. 34 -Il a précisément refusé de répondre aux appels de Grégoire III ! 35 -Pour T. MAISSEN, il est improbable que des fragments de l'oeuvre aient circulé à Florence avant 1333, puisque les seuls indicateurs dont nous disposons actuellement montrent qu'elle n'est connue qu'à la fin des années Trente de ce siècle (« Attila, Totila e Carlo Magno » cit La question de la date de rédaction du très court livre IV, déjà présent dans la version de 1333, demeure ouverte. A. DE VINCENTIIS, « Origini, memoria, identità a Firenze nel secolo XIV : la rifondazione di Carlomagno, La mémoire des origines dans les institutions médiévales, dir. C. CABY, Mélanges de l'Ecole française de Rome-Moyen Âge propose une date, « attorno al 1333 », peut-être un peu tardive. 36 -T. MAISSEN « Attila, Totila e Carlo Magno » cit., p. 609 ; P. GILLI, Au miroir de l'humanisme. Les représentations de la France dans la culture savante italienne à la L e s m y t h e s d e f, pp.606-385, 1997.

T. Maissen and . Attila, Totila e Carlo Magno » cit, p.627

P. Sur-le-rôle-du-personnage-dans-la-littérature-médiévale, . Osmond, and F. Catilina-in-fiesole, The Afterlife of a Roman Conspirator, International Journal of the Classical Tradition, vol.7, pp.3-38, 2000.

P. Gilli and «. L. , intégration manquée des Angevins en Italie : le témoignage des historiens », Les Angevins. Pouvoir, culture et société entre XIII e et XIV e siècle, pp.11-33, 1998.

. Sur-la and . Florence, dans les années 1340, voir par exemple les écus des soldats surveillants le marché d'Orsanmichele (fol. 79v) dans le Livre du, Miracle et charité » cit., pl. I, p.177

M. M. 48-sur-la-louve-siennoise, . Donato, . Del-buon, and . Governo, Le opere politiche di Ambrogio in Palazzo pubblico, pp.222-223, 2002.

C. Voir and . Frugoni, 51 -Le surnom était visiblement courant à Florence dans la première moitié du XIV e siècle : on le retrouve chez Dino Compagni, La plus ancienne version du Libro fiesolano » cit., p. 26). Villani emploie également l'expression « Figliuola e fattura di Roma (II,4) », assez proche finalement de celle utilisée par D. Lenzi : « bellissima e famosissima figlia di Roma (G. PINTO, Il libro del biadaiolo, pp.79-80, 1978.

M. Carocci and . Venditelli, di Firenze si cominciò a deficare per gli Romani, come detto è di sopra ? l'auteur renvoie au livre II, chapitre 1 ?, di piccolo sito e giro, figurandola al modo di Roma, secondo la picciola impresa », éd. G. PORTA, IV, 2, p. 146. 54 -Ainsi pour Sant'Andrea, une église sans relief particulier dans la Rome du XIV e siècle, et qui n'est apparemment retenue ici que pour la similitude de son vocable avec l'église florentine. 55 -M. BLOCH, Apologie pour l'histoire ou le métier d'historien, 52 -Il renvoie au livre II, chapitre 1. 53 -« La città nuova dans Storia di Roma dell'Antichità ad oggi, II. Roma medievale, pp.86-56, 1993.