J. Fort-le-caractère-de-simon, car je ne vois pas bien chez le même homme les sentiments d'un amoureux et ceux d'un sycophante (m à m il ne me semble pas qu

/. La-seconde-remarque-concerne-le-lien-argument, une façon qui reste à préciser, on peut dire que dans une langue comme le grec ancien, où la présence grammaticale des arguments n'est pas nécessaire, et pas seulement celle du sujet, et où le lien avec le verbe est marqué par le système casuel avec un ordre des mots "libre", le lien argument / désinence est plus lâche. Inévitablement dans un tel système la notion d'impersonnel se trouve limitée. La troisième remarque concerne le jeu des diathèses. Non seulement les arguments sont plus éloignés syntaxiquement du noyau verbal, mais (et c'en est peut-être une conséquence

A. Dyscole, . Traité, . Ellug, D. Grenoble, and F. , L'impersonnel d'après les textes théoriques de l'Antiquité L'impersonnel GRAMMATICI GRAECI, (1898-1910) II, I-III, Apollonii Dyscoli quae supersunt, éd, Autour de l'impersonnel, pp.1898-1904, 1985.

L. Frédéric, C. Grenoble, and R. Martin, Apollonios Dyscole : la syntaxe et l'esprit Syntax in Antiquity , supplementa tome 23 A Greek Grammar for Colleges, Grammaire méthodique du français, pp.133-152, 1918.