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S. La-littérature-est-très-abondante-sur-la-question-de-l-'école-ukrainiennesiropolko and . Istorija-osviti-na-ukrajini, Nous ne citons que les travaux d'un militant connu du mouvement pédagogique national, allié de Petlioura, S. Siropolko, déjà publié à l'étranger Narysy istoriji ukrajins'koho ?kil'nyctva, ainsi que deux ouvrages de généralisation ZAICENKO I. V., Problemy ukrajins'koji nacional'noji ?koli u presi, 1905.

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. Selon-le-ministre-d-'oudmourtie, Si le nombre d'écoles tatares diminue, c'est qu'il n'y a pas assez d'heures de russe dans ces écoles : 61 heures n'est rien et les élèves ne veulent pas y rester, 1956.

. Selon-le-ministre-de-bouriatie, Il fut un temps où l'institut prenait les écoles tatares comme modèle de ce qu'il fallait faire ailleurs et les programmes étaient fixés selon un point de vue tatar sans tenir compte des spécificités des autres républiques, 1956.

. Évoqua-la-plainte-du-directeur-de-l, école du village de Davlikanov où les mathématiques étaient enseignées en russe : « Comme nos élèves ont été éduqués en bachkir jusqu'en 9 e classe, l'enseignante est obligée de répéter, de simplifier et elle n'a pas le temps de finir le programme

. ?ernikov, IN?) répondit à Hasanov : « Comment allons-nous accueillir ces élèves à l'université de Moscou s'ils sont revenus à un enseignement en tatar ?

. El-'cov, Instruction du Daghestan : « Chez nous, c'est plus simple qu'au Tatarstan. La réalité multilingue nous impose le passage à un enseignement en russe

. Né-en, Aminov fut directeur de l'école de Staroturaevo, responsable du rajONO du district de Tujmazinskij (1963-69) et enseignant à l'institut pédagogique de Belebej, 1935.

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. Après-avoir-vécu-dans-un-village-bachkir, Julaj Absaljamov partit en 1963 à Leningrad avec ses parents : « Au début, c'était difficile parce que je ne parlais pas un mot de russe Après quelque temps, je pouvais le parler couramment Quand cinq ans plus tard, nous sommes rentrées au village, mes amis ne parlaient pas russe et je me suis remis au bachkir. » Oufa Ils étaient 62,2 % en, pp.196-143, 1976.

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G. T. Géorgie, M. George, and L. Vischer, un des rares territoires non-russes à disposer d'un réseau d'écoles géorgiennes à la veille de la Révolution, voir par exemple : REISNER O., Die Schule der georgischen Nation Witness Through Troubled Times: A History of the Orthodox Church of Georgia, 1811 to the Present, p.156, 1926.

S. F. 883-en-jones, ». «-the-georgian-language, R. G. Suny, and . F. Jones-s, tandis que 74% d'entre eux parlaient couramment russe Ce dernier chiffre s'explique notamment par le fait que les Géorgiens d'Abkhazie parlent surtout mingrélien Les Ossètes vivant hors d'Ossétie du Sud sont généralement kartvélophones, On the Road to Independence The Long Battle for Independence », dans M. REZUN, Nationalism and the Breakup of Empire. Russia and its Periphery, pp.390-73, 1979.

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L. Certes and . Russe, ne disparaît pas uniformément partout : il se maintient mieux dans certaines régions, telles l'Adjarie, ou dans les périphéries où les plaques des rues sont par exemple restées en russe que dans les centres villes, où la campagne contre l'affichage en russe dans les années 1990 a vite porté ses fruits

. Tbilissi, les russophones peuvent avoir des notions de géorgien oral qui leur permettent de comprendre une conversation sans toutefois connaître l'alphabet

«. Les and . Nationales, est-à-dire des établissements où l'enseignement se faisait totalement ou partiellement dans la langue des « nationalités 924 », existaient dans l'ensemble de l'Union soviétique

E. Géorgie-langues,-le-géorgien and . Le-russe, En outre, il n'y avait pas de dépréciation systématique des écoles ou secteurs géorgiens, comme c'était le cas pour les écoles non russophones dans certaines républiques et certaines étaient jugées prestigieuses Le pourcentage de Géorgiens effectuant leurs études en géorgien était donc important (68% des élèves en 1990), tandis que la part d'entre eux fréquentant l'école russe était faible (6,9 % en 1989) Les « écoles russes » étaient principalement fréquentées par les minorités, et plus massivement par celles qui n'avaient pas d'école dans leur langue propre. 40 % des Arméniens fréquentaient l'école russe contre 81 % des Kurdes ou 96 % des Grecs 927 . La question de leur maintien s'est posée dès l'indépendance. S'il n'est pas exclu que le climat xénophobe du début des années 1990 ait pu entraver le fonctionnement de certains établissements, elles n'ont officiellement pas été remises en cause, et en 1992, 551 écoles nationales fonctionnaient encore. Tous les textes adoptés ultérieurement pérennisent leur existence formelle. La loi de 1997 stipule que « sur recommandation des organes locaux, l'Etat crée à l'intention des citoyens de Géorgie dont le géorgien n'est pas la langue maternelle, 1990.

. Le-terme-d-'école-nationale, ?écoles où la langue d'enseignement n'est pas le géorgien?) recouvre plusieurs réalités : (a) écoles où l'enseignement se fait en langue ?maternelle? durant toute la scolarité ; (b) écoles où l'enseignement ne se fait dans la langue ?maternelle? que durant quelques années ; (c) écoles où l'enseignement se fait en géorgien ou en russe

. En-septembre, fonctionnaient 90 écoles avec un enseignement en ossète en Ossétie du Sud, plus de 70 avec un enseignement en abkhaze en Abkhazie, Gatchechiladzé, op. cit, pp.56-85, 1990.

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