J. Schmitt and . La, légitimation de nouvelles images autour de l'an mil », dans Le corps des images, pp.190-192, 2002.

A. Grabar, « Le trône des martyrs », Cahiers archéologiques, fin de l'Antiquité et Moyen Âge, pp.31-41, 1952.

S. Grabar and «. Dans-le-nord-de-la-france, Abbeville, était appelé Thronus sanctii Richarii (Plusieurs textes l'attestent comme la Vita s. Angilberti autore Ansihero, chap. VII, von schlosser, Schruftquellen zur Gesch Chronique de l'abbaye de Saint-Riquier, éd. F. LoT, pp.297-298

J. Schmitt, Il est intéressant de constater après Bruno Junic que les restes mortels d'un saint conduisent à admettre « le fait que la grâce divine, qui s'est incarnée dans le Christ, agit dans la matière ellemême , dans la chair humaine elle-même, dans l'ensemble des perceptions sensibles de l'humanité », « La clé d'or et l'idole sanglante, Le culte des reliques entre histoire et anthropologie », dans Liber largitorius, pp.149-604, 2003.

. En-Épigraphie-funéraire, Voir à ce sujet l'épitaphe d'orderic Vital pour la reine Mathilde : gazis dispersis pauper sibi dives egenis/sic infinitate petiit consortia vitae/ in prima mensis post primam luce novembris (pauvre envers elle-même, par la disposition de ses trésors riche envers les miséreux/elle gagna ainsi les royaumes de la vie éternelle/le lendemain du premier jour du mois de novembre) CIFM 22, La référence est également Luc, pp.52-53