. Voir, arrêt 6 : Relief d'appel ; l'arrêt 7 : Fins de non recevoir contre appel ; l'arrêt 8 : Désertion d'appel et l'arrêt 9

. Cf and . Troisième-partie, De la révision (voir les n° 9 à 24 : règles applicables à la révision « qui est pratiquée dans les Pais-Bas austrichiens et dans le ressort du parlement de Flandre

. Cf, troisième partie, arrêt 100 : Requete en opposition contre un arret

. Charondas, Responses ou décisions du droict françois confirmées par arrests des cours souveraines de ce royaume?, 1605.

. Dupineau, Anjou : cité 14 fois) Les Institutes coutumières d'Antoine Loisel ne sont également citées que par de Ghewiet (16 fois)

. Dans-cette-juridiction-nouvellement-créée, ils ont compris que, pour fixer la 'jurisprudence' de la Cour, il fallait qu'ils consignent les arrêts importants auxquels ils avaient participé Ainsi s'explique la floraison de ces ouvrages imprimés et, surtout, manuscrits, dans les trente premières années de l'existence du Parlement. Puis, à la suite de son installation à Douai et de la confirmation de la domination française, cette habitude se perd et Georges de Ghewiet en est le dernier représentant. Mais le caractère déjà hybride du travail réalisé par Jacques Pollet se renforce avec les observations qu'il y ajoute et sa Jurisprudence du parlement de Flandre constitue, d'une certaine manière

P. Le-plus-célèbre-de-ces-dictionnaires-est-certainement-celui-de and . Brillon, Dictionnaire des arrêts ou jurisprudence universelle des parlemens de France et autres tribunaux, contenant par ordre alphabétique les matières bénéficiales, civiles et criminelles, les maximes du droit ecclésiastiques, du droit romain, du droit public, des coutumes, ordonnances, édits et déclarations, 3 t, 1711.

C. Qui-justifie-son-titre, De Ghewiet y insiste d'ailleurs dans ses Prolégomènes (n° 1) : « J'ay intitulé cet ouvrage du nom de 'Jurisprudence du parlement de Flandre' à cause des regles et maximes qu'on y trouve, pour pouvoir former cette science au moyen de laquelle on est capable de discerner les choses justes d'avec celles qui ne le sont pas, par rapport au grand nombre de resolutions et arrets que cette Cour souveraine a rendus depuis son etablissement iusques en 1724 ». Cette proposition prouve que l'évolution qui affecte la littérature juridique française au XVIII e siècle fait sentir ses effets jusqu