Limites de l'apport de la société civile : l'éducation dans les états fragiles - HAL-SHS - Sciences de l'Homme et de la Société Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue Revue Internationale d'Education de Sèvres Année : 2011

Limites de l'apport de la société civile : l'éducation dans les états fragiles

Résumé

Près d'un tiers des enfants non scolarisés dans le monde vit dans des pays dont les gouvernements n'ont pas les capacités ou la volonté de s'engager dans des politiques de lutte contre la pauvreté. Dans ces États fragiles, l'objectif de la scolarisation primaire universelle reste aléatoire. Face à la défaillance des pouvoirs publics, la communauté internationale s'appuie sur les organisations de la société civile pour fournir une éducation dont le statut de bien public mondial peut conduire à des modalités renouvelées de l'aide internationale. L'approche participative rencontre cependant des limites. Il convient alors de reconsidérer le rôle de l'État qui, légitimé dans ses fonctions régaliennes, symbolise le retour d'une puissance publique effective, puissant facteur pour sortir de la fragilité.
Fichier non déposé

Dates et versions

halshs-00661333 , version 1 (19-01-2012)

Identifiants

  • HAL Id : halshs-00661333 , version 1

Citer

Thomas Poirier. Limites de l'apport de la société civile : l'éducation dans les états fragiles. Revue Internationale d'Education de Sèvres, 2011, 58, pp.95-104. ⟨halshs-00661333⟩
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