. Il-est-probable and . Qu, elles aient suivi une ordonnance, antérieure à 1274, qui réservait les fourrures de vair à la noblesse 64 . Toutefois, sous la pression des événements politiques, ces 58 C. Enlart, Manuel d'archéologie française depuis les temps mérovingiens jusqu'à la Renaissance, III, Le costume, pp.96-142, 1916.

H. Baudrillart-jours, I. , L. Moyen-age, and . La-renaissance, Gatineau, Le luxe et les lois somptuaires 1920 ; mais la seule analyse rigoureuse, malheureusement marginale par rapport à son propos, Kraemer, Le luxe et les lois somptuaires au Moyen Age se trouve chez R. Delort, Le commerce des fourrures en Occident à la fin du Moyen Âge, pp.537-554, 1881.

H. Stephen, R. I. Ii, and . London, Historia rerum anglicarum, livre III, chap. 23, éd. R. Howlett, Chronicles of the reigns Pour une comparaison avec l'Angleterre, voir F. Lachaud, Dress and social status in England before the sumptuary laws, Heraldry, pp.106-123, 1884.

G. Témoignages-de-joinville, J. L. De-beaulieu-et-salimbene-de-adam-d-'après, S. Goff, and . Louis, Baudrillart est le seul à évoquer, sans en indiquer la source, « la loi de 1229 » qui défendait aux comtes et aux barons de donner plus de deux robes aux chevaliers et autres personnes de leur suite ; qui défendait aux fils des comtes, des barons et des chevaliers bannerets de ne pas porter de robes dont l'étoffe coûtât moins de 16 sous l'aune ; et qui permettait aux comtes et barons d'en donner à leurs compagnons d'une étoffe de plus de 18 sous l'aune, les écuyers domestiques ne pouvant porter d'étoffe de plus de 6-7 sous l'aune (Du luxe privé et public, cité n. 59, III, p. 168) Il y a très vraisemblablement erreur d'attribution, sinon de compréhension (ce serait la première loi somptuaire définissant un seuil minimal de dépense !), car saint Louis semble s'être peu préoccupé de la hiérarchie sociale dans son royaume, pp.185-186, 1996.

J. De-venette-situe-ce-fait-en, L'interdiction de porter des souliers à poulaine s'adressait à tous, « cette superfluité étant contre les bonnes moeurs, en dérision de Dieu et de l'Eglise, par vanité mondaine et folle présomption », mais elle visait probablement d'abord les nobles dont Jean de Venette stigmatise la frivolité vestimentaire en 1346 et en 1356, c'est-à-dire à chaque fois qu'ils mettent le royaume en péril par leur incurie, pp.368-1713, 1365.

O. Secousse, 22, I, p. 541 et suiv. 64 C'est en effet à cette date là que les bourgeois de Narbonne parvinrent à obtenir une dérogation aux ordonnances royales pour continuer à porter du vair (R. Delort, Le commerce, cité n, p.538

A. G. La-troupe-des-parisiens-en-armes-allant-au-palais and . Dans-la-chambre-du-dauphin, le 22 février 1358 ; à dr., le meurtre des maréchaux qui s'en suivit, sous les yeux du Dauphin, à qui Etienne Marcel tend son chaperon biparti (BNF, Fr, pp.2813-409