, savoyard, s'en rend compte et lance un assaut aisé
, Bâtard de Thien s'étant illustrés par leur vaillance sont faits chevaliers
, confirmé d'après l'original ou ajouté d'après celui-ci)
, Jean de Rouvères devront être jugés. d. Demeureront prisonniers tant que leur forteresses ne sont pas rendues : Guichard de Chissay Demeurent à merci : les canonniers, les coupables de la mort de Jean sans Peur
, général capitaine de la place, et le fait pendre à l'arbre où il avait l'habitude d'exécuter Anglais, Bourguignons et Français
, La grande dépression médiévale : XIV e -XV e siècles. Le précédent d'une crise systémique, p.83, 2000.
, Jeanne d'Arc, 1856 rééd. Paris, 1888, p. xxxiii-lx, à comparer avec le Journal, § 239 ; C. Allmand, « War and non-combatants in Middle Ages, Medieval Warfare. A History, pp.265-266, 1999.
, Histoire de France depuis l'établissement de la monarchie françoise dans les Gaules, Amsterdam, 1720, p. 912, C. Villaret, Histoire de France, depuis l'établissement de la monarchie jusqu'à Louis XIV, ou N. Baudot de Juilly, Histoire et règne de Charles VI, pp.293-1753
, Histoire de France sous le règne de Charles VI, 1842, II, pp.369-370
, The reign of Henry the Fifth, III, Cambridge, 1929, III, p. 352, Catastrophes naturelles et calamités au Moyen Âge, pp.27-38, 1998.
, Elle fonde son intuition sur le témoignage positif des chroniqueurs armagnacs qui soulignent la loyauté héroïque du bâtard de Vaurus au parti « français », mais ces chroniques sont insuffisantes pour établir la vérité car elles sont aussi tardives que patiales (C, pp.198-199, 1985.
, Pièces Originales, 2946, n° 65445, doss. Vauruz (annexe 1) Pour le document du 30, pp.1404-1461, 1419.
, Inventaire de la collection Clairembault, Paris, 1886 ; L. Douët-d'Arcq, Collection de sceaux aux Archives nationales, Sceaux des Archives du département des Basses-Pyrénées, p.1880, 1874.
, et Précis d'histoire de France, Paris, 1835, p. 134. 25 C. Gauvard, « Rumeur et stéréotypes, Journal, vol.187, issue.328, pp.340-176
, L'orme de justice est archaïque au XV e siècle, mais le souvenir de sa fonction est toujours vivace pour l'auteur du Journal puisqu'il écrit plus loin que « le roi de France était le droit orme aux larrons de chrétienté, Histoire et légendesJournal, vol.792, pp.133-136, 2002.
, Le meurtre de la femme enceinte est une transgression souvent mise en avant par les chroniqueurs ou leurs illustrateurs pour souligner l'illégitimité des actions politiques ou militaires qui y conduisent, Journal, vol.224, issue.276, pp.210-226, 2005.
, Histoire du méchant loup. 3 000 attaques sur l'homme en France, XVe-XXe siècle, pp.19-29, 2007.
, Gaston Fébus assure que « le loup aime la chair humaine et peut-être s'il était plus fort n'en mangerait-il pas d'autre » (Le Livre de la chasse, éd et trad, pp.64-66, 1986.
, Fébus attestent la croyance dans l'endocanibalisme du loup, les prétendants éconduits par la louve se vengeant en dévorant celui qui l'a couverte (S. Bobbé, L'ours et le loup, p.34, 2002.
, On peut s'interroger sur le choix comme devise du duc d'Orléans de ce prédateur peu valorisant. Il s'explique probablement par l'homophonie entre « loup » (associé à l'âme « il est ») et « Louis », tandis que la devise figure un loup colleté d'une clochette, c'est-à-dire un loup domestique et courtois, pp.533-51, 1989.
, Voir 225) ou Eustache Deschamps (OEuvres complètes d'Eustache Deschamps, éd. Le Queux de Saint-Hilaire, Paris, 1878, I, p. 309). C'est un motif rhétorique courant que l'on retrouve ensuite chez Robert Gobin, Les Loups ravissans, cestuy livre ou autrement doctrinal moral intitulé est, Paris, vers 1503, dans lequel le diable donne des leçons à des loups ; en face de lui, sainte Doctrine accuse les loups de persécuter les brebis. Cet ouvrage s'inscrit dans un courant réformateur de sensibilité apocalyptique : l'auteur y dépeint une extension du Mal, sous forme d'une lycanthropisation de la société, qui prélude à l, pp.271-287
, The Reign of Henry the Fifth, III, Cambridge, 1929, p. 336 et suiv. La question de l'identité de l'auteur de la Vita et gesta Henrici Quinti (par Thomas d'Elmham ou un pseudo Thomas d'Elmham) de même que le rapport de cette biographie avec la Vita Henrici, Litterature in the Fifteenth Century, pp.51-1109, 1913.
, conventiones, literae et cuiscumque generis acta publica inter reges Angliae et alios, pp.212-214
, 45 Ce dernier le fait pendre sans procès et sans confession, malgré la résistance du bourreau et l'avertissement de la Providence qui fait casser la corde lors de la première tentative. Pour justifier cette iniquité, le Bourgeois se borne à rapporter ce qu'en dit la propagande anglaise (« on disait qu'il avait tué de sa main au pays de Flandre ou de Hainaut un évêque ») alors qu'il détaille la cruauté de l'exécution ordonnée par Bedford, 44 C. Gauvard, Violence, pp.312-246, 1921.
, The medieval siege, p.312, 1992.
, Etat et société à la fin du Moyen Âge, p.262, 1972.
, 000 hommes, doit être ici revu à la baisse, mais cela paraît de bon sens. A. H. Burne, The Agincourt War, p.171, 1956.
, rituels de dérision entre les villes toscanes (XIII e -XIV e siècles) » et R. Villard, « La queue de l'âne : dérision du politique et violence en Italie dans la seconde moitié du XV e siècle, La dérision au Moyen Âge, pp.175-190, 2007.
, The medieval siege, p.307, 1992.
, Résistants et collaborateurs pendant la guerre de Cent ans : le témoignage des lettres de rémission », Ead., « De grace especial, pp.123-138, 1988.