C. Maggioni, A. Masino, D. Russo, . Storico-biografico-dei-farmacisti-italiani, I. Parte et al., Voir aussi les compléments apportés dans « Dizionario storico biografico dei farmacisti italiani. Prime giunte all, pp.55-107, 1984.

E. Vitolo and . Gli-antichi-statuti-degli-speziali-di-genova, 63 Speziali e spezierie a Viterbo, p.139

F. Jacquart and . Micheau, La médecine arabe et l'Occident médiéval, pp.213-214, 1990.

. Quia, eorumque imperitia famosissimos doctores, ac doctissimos medicos ad infamiam et vilipendium, cum magno etiam periculo sepissime trahere atque perducere » (cité par I. Ait, Tra Scienza e mercato, 96). 71 E. Wickersheimer, Dictionnaire?, p. 702. 72 C'est-à-dire le Liber pandectarum medicinae de Mattheus Silvaticus

. Voir-l-'incipit:-« and . Ioha, descriptiones antidotarij [et] practice diui Ioha[n]nis Mesue [et] aliorum illustrium medicorum clarissima interpretatio incipit, dicta Luminare maius ». 75 Sur ce personnage, voir E. Wickersheimer, Dictionnaire?, p. 670. 77 I. Ait, Tra Scienza e Mercato? (cap. II « Quod nullus accipiat famulum ad minus annorum tempus sex, Gli antichi statuti degli speziali di Genova XXI « Quod nullus accipiat famulum, qui sit aetatis annorum viginti, vel ab inde supra »), ou encore le chapitre XXV, interdisant à un speciarius d'enseigner son art à un esclave («Quod nullus speciarius doceat suam artem aliquem sclavum »), p.3

J. Bénézet, Pharmacie et médicament, p. 435. 81 E. Wickersheimer, Dictionnaire?, p. 255, Le origini della farmacia, pp.11-43

«. Mcvaugh and . Le, coût de la pratique et l'accès aux soins au XIV e siècle : l'exemple de la ville catalane de Manresa, pp.45-54, 2004.

«. Palmero and . Pratiche-e-cultura-terapeutica-alla-fine-del-medioevo, tra oralità e produzioni scritte », dans La trasmissione dei saperi nel medioevo (secoli XII-XV) Atti del 19° convegno internazionale di Studi tenuto a Pistoia, 16-19 maggio 182 : « Thomas de Murta speciarius amicus meus mihi dedit infrascripta remedia contra pestem [?] et mihi dixit quod [?] curavit cum infrascriptis remediis sex personas infirmas ». 87 Ibidem, p. 183 : « Istud pro maximo secreto habui a domino Thoma de Murta speciario [?] qui dicit istud secretum habuisse a domino fratre Johanne de Aro mediolanensi, ordinis Carmelitarum, qui dixit domino Thome istud secretum habuisse a quadam vetula mascara, sive malefica, sive striga, sive faytoreria mediolanensi, confessione que confitebatur fratri Johanni, pp.159-185, 2003.

P. Ibidem, 182 : « Electuarium optimum a fare andare del corpo, habitum a Jeronimo Drago aromatario, qui illud habuit a patre suo medico cui fecit dictum electuarium magnum honorem

«. Hampe, I. ». Eine-schilderung-des-sommeraufenthaltes-der-römischen-kurie-unter-innozenz, and H. Vierteljahrsschrift, Voir à ce sujet entre autres A. Paravicini Bagliani, Medicina e scienze della natura alla corte dei papi, pp.509-544, 1905.

D. Marini and R. Archiatri-pontifici, vols, I, p. 51-54 et 165, et II, pp.22-25, 1784.

K. Hampe and . Schilderung?, 97 Cité par A. Paravicini Bagliani, Medicina e scienze della natura?, pp.535-548

. P. Cf and . Vigo-Éd, Arte degli speziali di Pisa nel secolo XV, p. 3, « Prohemio » : « Gli uomini dell'arte et università delli speziali della città, borghi, sobborghi, contado e distretto di Pisa? elessono e deputarono tre uomini, eletti statuiti e ordinati dalli spettabili consoli e consiglieri di detta arte? ». Sur les statuts de la corporation remontant à 1453 médecine arabe et l'Occident médiéval, pp.113-172, 1955.

J. N. Voir and . Hillgarth, Readers and Books in Majorca 1229-1550, vols, pp.508-510, 1991.

-. Bénézet, Pharmacie et médicament, p.407

G. C. Ainsi, Enrico della Torre, speziale de Ligurie qui est aussi l'un des premiers cités avec une boutique, laissait une vingtaine de produits, des récipients et balances et un Antidotarium

«. Bergaglio and . Medici, speziali in Atti dei Notai Liguri e in altri Cartolari dei secoli XII e XIII, pp.44-423

. Agostino-di-niccolò-di-filippo, ce qui semble plaider pour une utilisation réelle de sa part ? quoique le problème soit complexe, ne serait-ce que parce qu'exercer la fonction d'apothicaire ne signifiait pas ignorer le latin 105 . Faut-il donc imaginer cet apothicaire examinant les urines aux côtés ou à la place d'un médecin ? Quand on sait qu'à Pise, il n'était permis de se tenir dans la boutique du speziale qu'au médecin chargé chaque jour « pro videndo seu iudicando aliquam orinam vel orinas » 106 , il est aisé d'imaginer comment a pu naître, chez certains apothicaires, le désir d'imiter les médecins en ce domaine. Le Capitolare établi à Venise en 1258 interdisait déjà aux apothicaires aussi bien de soigner ou de prescrire que de rendre des jugements d'après l'examen des urines, mais l'intérêt d'Agostino di Niccolò pour les traités d'uroscopie montre que les apothicaires n'avaient pas renoncé à pénétrer dans un domaine réservé du médecin, loin de là ; n'est-il pas d'ailleurs exactement contemporain du Thesaurus aromatariorum, dont le dernier chapitre enseigne aux apothicaires les éléments les plus simples de l'analyse des urines 107 ? Que son auteur ait voulu, avec ce chapitre, donner à l'apothicaire les moyens de se substituer au médecin ou seulement de pouvoir donner au patient une première indication sur son état de santé, mais en outre, ces textes sont en vulgaire mais il est fort probable qu'ils aient cédé plus tôt à cette tentation

D. Jacquart and . La-médecine-médiévale?, et p. 307. 106 Cité par R. Ciasca, L'arte dei medici?, pp.298-314

L. Vieillard, urologie et les médecins urologues dans la médecine ancienne. Gilles de Corbeil, sa vie, ses oeuvres, son poème des urines, p.24, 1903.