. Cf and B. Guy, La science dans l'Occident médiéval chrétien

R. Taton and L. , ses notes sur les champignons et sur les poissons du Rhin sont remarquables, Die heilige Hildegard von Bingen, die erste deutsche Naturforscherin und Ärztin Münchener Beiträge zur Geschichte und Literatur der Naturwissenschaften und Medizin 377. 32. Physica col. 1146BC : " Ubi autem homo magna et eminentia ulcera habet in se, p.602, 1927.

. Sed-si-inter-cutem-et-carnem-hominis-maculae and . Pustulae, Et pecoribus similiter fiat 33, trad. Pierre MONAT, pp.69-103, 198889.

H. De-bingen, Les noms des fleurs trouvés par la méthode simple, Paris s. d (note 29), p. 42. 38. Physica, I, 45De SaniculaQui autem ferro vulneratus estSed tamen homo cui pulmo inflatus est, ita quod ipse hustet et quod spiramen vix trahit, 41. Cf. Pierre LIEUTAGHI, Jardin des savoirs, pp.160-196, 1992.

I. Physica, De StichwurtzEt calor ejus periculosus est, nisi in loco ubi venenum paratur". 44. Physica, I, 46De Heylheubt", col. 1147B : "in eo nec salus nec sanitas et nulli homini ad comedendum valet". 45. Physica, I, 48De Haselwurtz", col. 1148 C : " ... et periculosam vim habet". 46. Physica, I, 52De Dolone", col. 1149D : "periculosum est homini ad comedendum et bibendum, quia spiritum ejus concutit, quasi mortuus sit". 47. Physica, I, 110, col. 1173B : "et si quis eam, aut oleum ex granis ejus factum, comederet, mortiferum venenum in illo faceret". 48. Physica, I col. 1151A : "suggestio diaboli plus quam aliis herbis adest et insidiatur, p.56

H. Voit-la-puissance-du, diable se mêler parfois à cette plante, et recommande de la purifier par l'eau avant emploi. 49. Physica, I, 156, 1190C : "... et venenosum calorem habet

I. Physica and D. Scherling, Sed ille, qui contis et fusibus valde percussus est, aut qui de aliqua altitudine cecidit... ". 51. Cf. Physica, I, 121De Nachtschade, col. 1179B. 52. Cf. Pierre LIEUTAGHI, Le livre des bonnes herbes col. 1167B : " et grana ejus comesta somnum afferunt et pruriginem prohibent, pp.206-53, 1978.

I. Physica, De Wulffesmilch", col. 1149C : "venenum dicitur [...] et nulla alia utilitas, nisi ut medicinarum philosophi invenerumt, quod interdum contra induratum stomachum quibusdam potionibus additur

. Cf, A. Jacques, and . 1. Lexique-des-termes-de-batanique-en-latincitocacia, De Grintwurtz", col. 1186A. 59. Cf. Physica, I, 127De BeoniaDe Herba AaronDe Meygilana Bien que Hildegarde conseille de préparer avec les simples des types de médicaments très variés (décoctions, pilules, onguents, électuaires, collyres, etc.), non seulement elle n'indique que très exceptionnellement les quantités mais elle ne précise même pas toujours quelle partie de la plante utiliser. 61. Pour un panorama des emplois thérapeutiques des simples d'aujourd'hui, voir par exemple le "Répertoire thérapeutique" établi par Pierre LIEUTAGHI dans Le livre des bonnes herbes (note 52), tome 2, pp. 185A211. 62. Physica, I, 123De Wullena", col. 1180B : "sed et qui in voce et in gutture raucus est, et qui in pectore dolet". 63. Physica, I, 95De AlantEt qui in pulmone doletDe PetroselinoEt qui de calculo dolet". 65. Physica, I, 98Nam radix ejus ad nullam utilitatem valet, et folia tam cruda quam cocta periculosa sunt homini ad comedendum, praeter illum cui calculus in corpore nascitur". 66. Physica, I, 107Et homo quem tertiana febris fatigat, 58. Physica, I, 138Sed et si quis comederit aut biberit unde dolet". 67. Physica, IQui autem dolorem cordis ita patitur velut cordis ejus vix haereat...". 69. Physica, I, 15 col. 1136D : "Homo autem quem vich fatigat modicum zinziberi et plurimum cinnamomi accipiat [...] Postea merlinsen sumat col. 1143C : "Et homo qui multos habet pediculos, pp.92-141, 1149.

I. Physica and . Cf, De MetraEt qui in visceribus dolet [?]. Et cum feminae menstrua habent

F. Mortier, Aux dires de certains empiriques une tisane de Matricaire (5 grammes de fleurs par litre) administrée entre les repas et pendant longtemps pourrait garantir des ulcères et des inflammations gastriques". 72. Physica, I, 75De BachmyntzaCum de multis cibis et potibus stomachus gravatur") ; I, 77De Myntza MinoriSed et qui frigidum stomachum habet") et I, 78De RossemyntzaEt sic etiam comesta stomachum calefacit et bonam digestionem parat Le souci pourrait avoir le même rôle préventif. 74. Physica, I, 79Sanis et infirmis ad comedendum sanabilius est quam porrum Nec oculis obest, verum tamen propter calorem ejus sanguis circa oculos valde erigitur, sed postea puri fiunt, 75. Cf. P. LIEUTAGHI, op. cit. (note 52), tome 2Une étape de la botanique provençale : l'herbier de Florence (XIVe siècle), pp.90-190

X. Provence-historique,-tome, Le nom de l'auteur importe peu, mais je remercie Francois Poplin d'avoir attiré mon attention sur un tel commentaire et de m'en avoir adressé la photocopie. 79. CfL'épeautre est un excellent grain, de nature chaude, gros et plein de force, et plus doux que les autres grains ; à celui qui le mange, il donne une chair de qualité, et fournit du sang de qualité. Il donne un esprit joyeux et met de l'allégresse dans l'esprit de l'homme. Sous quelque forme qu'on le mange, soit sous forme de pain, soit dans d'autres préparations, il est bon et agréable". 80. Les chapitres 178 à 188 inclus évoquent dans 1'ordre, le miel, le sucre, le lait, le beurre, le sel, le vinaigre, une préparation appelée meranda (panade ?), les oeufs, 68?71. 83. Cf. P. LIEUTAGHI, Le livre des simples médecines de Platearius, pp.365-402, 1986.

. Cf, Traité des poisons de Maïmonide (XIIes.) avec une table alphabétique, trad. Dr l.?M. RABINOWICZ, Paris 1865Une chose qu'on mange souvent sans qu'on en connaisse bien la nature et qui pourtant est mortelle, c'est la truffe et le champignon, p.59

L. C. Deutscher-macer-Éd, E. Külz, and D. Külz?trosse, sans leur consacrer une ligne dans la suite du texte ; cfAgaricus buchswam" et "Boletus swam" sont annoncés, mais ils n'apparaissent pas dans le texte Je remercie vivement le Professeur Nigel Palmer de m'avoir communiqué la photocopie de ce texte Voici ce qu'en dit, entre autres, Hildegarde : "Les champignons qui naissent sur le sol, quelle que soit leur espèce, sont en quelque sorte l'écume et la sueur de la terre, et font un peu de mal à celui qui en mange, car ils provoquent en lui des écoulements et de l'écume. Cependant les champignons qui naissent par temps sec et sur un sol sec sont un peu meilleurs que ceux qui naissent par temps humide et sur un sol humide ; mais on ne trouve guère en eux de propriétés médicinales Un siècle plus 49, ne fait en effet que citer les champignons dans sa table des matières, p.172, 1200.

D. Dauwurtz, Pissenlit ? Cramois ? Taraxacam offcinale ? Galeopsis tetrahù L. ? 54. De Brachwurtz Euphorbe Euphorbia spec

D. Binsuga, Lamier blanc ? Lamium album L. ? Mélisse ? Melissa offcinalis L. ? 60. De Sunnewirbel Chicorée sauvage Cichorium intybus L

L. De-lilim, Lilium tigrium ? 63. De Selba Sauge Salvia offcinalis L

C. De-distel, Cnicus benedictus L. ? 100. De Urtica Ortie Urtica diaica et urens L

D. Menna, Il) Mâche ? Valeriana olitoria L. ? 103

G. De-herba, Herbe aux goutteux ? Aegopodium podagraria L. ? Nlelle des blés ? Agrostemma githago L. ? 154

D. Mai, Convallaria maialis L. ? 160

. De-musetha-lichen, De Birckwurtz Salicaire ? Lythrum salicaria L. ? Potentille tormentille ? Tormentilla erecta L. ? Bourse à pasteur ? Capsella bursa pastoris L. ? 167. De Astrencia Peucédan ? Peucedanum ostruthium L. ? Impératoire ? Imperatoria ostruthium L. ? 168. De Ertpeffer Renouée ? Polygonum hydropiper L. ? Poivre de muraille ? Sedam acre L. ? 169

. De-hartz-résine, De Sulphure Soufre 189 De Vigbona Lupin 187 De Hartz Résine 188. De Sulphure Soufre 189. De Vigbona Lupin blanc Cf. cap

H. De-wisela, Phaseolus vulgaris L. ? Ers ? Ervum ervilia L. ? Dolique ? Vigna unguiculata L. Walp. ? 192. De Wichim Vesce Vicia sativa L. 19}. De Milio Millet Cf. cap. 9b 194, p.150

D. Zugeluich, De Psaffo ? ? 219. De Herba in qua Airelle ? Vaccinium vùis iduea L. ? Rifelbere crescunt Berbéris ? Berberis vulgaris L. ? 220

D. and R. Von-fischer?benzon, il pourrait s'agir de l'OroDus taberosus L. encore appelé Christianwurz en Alsace à son époque (cf Altdeutsche Carterdioro Selon H. Marzell, "Christianwurz" s'appliquerait à Astragalus glycyphyllos L, Réglisse sauvage et "Christiankraut" à Hypericam perforatum L., le Millepertuis, 1894.

. Duquel-Était-cultivé-le-melissophallon-des-grecs, . De-melissa, . P. Cf, and . Lieutaghi, Jardin des savoirs, jardin d'histoire, op. cit., p. 103. 9. Plusieurs noms de végétaux contiennent le radical "Stut" en allemand ; d'aprés H. Marzell (Register, op. cit.), "Stutwurz" serait ainsi Althea officinalis L., la guimauve, "Stuter" serait Arum maculatum L., I'Arum, et "Stutenblume" Filipendula ulmaria L., la Reine?des?prés. 10. A moins qu'il ne s'agisse de la Gourde (lagenaria siceraria, Cette deuxième hypothèse est plus satisfaisante puisqu'on reconnaît dans Binsuga qui figure dans le Capitulaire De Villis sous la forme Cucurbito

. Si-ce-mot-est-une-mauvaise-graphie, Menva" : il pourrait s'agir de Armoracio rusticona L

P. Menna and . Sauvage, Enfin, dans le glossaire final du ms. Ashb. 1323, on lit, 1959.

P. Cette-plante-est-appelée, . Dorveaux, . Ce-que-confirme-le-deutscher, and . Macer, Raphanus heiBt merretich (cf. Das Breslauer Arzneibuch, R 291 der Stadtbibliothek, hrsg Bien que le radis et le raifort soient très différents morphologiquement, il est parfois malaisé de les distinguer dans les textes du Moyen Age. 13. Cf. le Deutscher Macer : "sponsa solis heiBt ringel". (Das Breslauer Arzneibuch, R. 291 der Stadtbibliothek, op. cit, pp.180-176, 1908.

H. Marzell-proposait-d-'y-voir-colchicum-automnale and L. La-colchique, Dans le ms. Ashb. 1323, à côté du nom de la plante, on lit dans la marge de droiteLingua canis", et au XIIe siècle, le Summarium Heinrici indiquait : "cinoglossa hundiszunga vel canis lingua vel caballion La plante nommée Ugera serait?elle l'actuelle Cynoglosse officinale, Cynoglossum officinale L. ? 15. Est?ce la nepta du Capitulaire De Villis ? Cf. P. Lieutaghi, Jardin des savoirs, jardin d'histoire, op. cit., p. 81. 16. On lit dans le Deutscher Macer : "Pastinaca heiBt moren" ; cfBorrago heißt scharlei, p.50, 1982.

. Une-plante-du-nom-de-stuir-apparaît-dans-le-deutscher-macerdas-breslauer-arzneibuch, Stuir der ist trucken) ; la forme Stuwer y figure d'autre part comme synonyme de Intibus, p. 176. Selon H. Marzell, cette plante serait une variété d'Amarante, Amarantus vir. (Register, op. cit.). 19Potentilla reptans L, La forme Nymphaea apparaît chez Pline 25, 75. 20. H. Marzell indique une forme voisme, p.181