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J. Rey-coquais and A. , 257, n'enregistre qu'une partie des témoignages disponibles et retient le nom de Constantia, mais ne s'interroge pas sur la signification de la fondation de la ville, qu'il attribue à Constance à la suite de Théophane et de Cédrénus. E. Honigmann, Historische Topographie von Nordsyrien im Altertum, n° 41, établit une liste plus complète et relève les contradictions de la tradition littéraire sur Antarados, vol.46, pp.158-159, 1924.

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, Atticus episcopus Aradi et Constantiae. Rey-Coquais (n. 47) ne tient pas compte de ce témoignage, vol.2, p.44

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. Sozomène, Rey-Coquais (n. 47) ne prend pas ces deux témoignages en considération. Dans son commentaire à l'édition de Sozomène, Histoire ecclésiastique. Livres I-II, 1983.

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. Michel-le-syrien,

. Athanase, Apologie pour sa fuite 3, 3, et Histoire des ariens 5, 2; Théodoret, Histoire ecclésiastique 2, 15, 8. L'évêque Zénodoros d'Antarados cité parmi les Pères de Nicée (325) n'apparaît que dans des remaniements alexandrins de la liste originale, p.331

, Julien, Discours, vol.1, p.33

. Henck, 356 et 582, qui l'est moins, observe que le surnom de la ville n'est pas mentionné en dehors du discours de Julien et suppose qu, vol.297, 1961.

, ce qui était susceptible de favoriser autant la contre-offensive en Mésopotamie que le commerce local. 59 Il est donc probable que les citoyens d'Antioche aient considéré que les manifestations de la munificence impériale équivalaient à une refondation et qu'ils aient voté un décret ad hoc pour rendre hommage à Constance en adoptant le même surnom honorifique que celui de Laodicée. La nouvelle dédicace de Laodicée-sur-mer, en liant l'adoption du nom de Constantia à la refondation d'une ville par Constance, corrobore les dires de Julien à propos d'Antioche. Elle permet aussi de supposer que les bienfaits de l'empereur recouvraient les haines entre ces cités. Sans doute aussi vieilles que les deux villes, ces rivalités séculaires s'étaient exprimées à la fin du II e s., lors de la guerre de Septime Sévère contre Pescennius Niger, vol.346, p.62

. Downey, , vol.57, pp.358-359

C. Jérôme, Expositio totius mundi et gentium 28; Libanios, Discours, vol.11, issue.346, pp.263-264

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. Malalas, La période au cours de laquelle la nouvelle province a été créée se situe entre le concile de Constantinople en 536, où l'évêque de Balanée se trouve parmi les prélats de la Syrie Seconde, vol.18

. Mansi, , p.61

, Conclusion La dédicace de Laodicée-sur-mer, tout en complétant nos connaissances sur l'histoire de la cité, attire à nouveau l'attention sur le phénomène des fondations impériales de l'Antiquité tardive. 63 À propos des agglomérations promues par Constance en Orient, on peut distinguer Antoninoupolis, renommée Constantina par le César Constance en l'honneur de son père Constantin entre 333 et 337, des quatre villes d'Antarados, Antioche, Laodicée et peut-être Phaina, fondées ou refondées sous le nom de Constantia ou Constantiana après l'accession de Constance à l'augustat en 337. Ces changements paraissent étroitement liés aux séjours prolongés de Constance en Syrie. L'attitude de l'empereur s'explique non seulement par la préparation des guerres contre les Perses et par ses bonnes dispositions à l'égard des cités du diocèse d'Orient, mais aussi par son choix délibéré de privilégier des villes portuaires christianisées, dans le cas d'Antioche, Antarados et Laodicée. En retour, les bienfaits de Constance ont dû entretenir les rivalités entre des cités soucieuses d'obtenir la primauté sur leurs voisines (Amida et Antoninoupolis en Mésopotamie, Arados et Antarados en Phénicie, Laodicée et Antioche en Syrie) ou davantage d'autonomie par rapport à elles, A (Stephanus episcopus Laodiceae metropoleos Theodorianorum provinciae). Voir également E. Honigmann, Ueodvri@« ãparx?a, pp.886-887, 1934.

. Verlag, Göttingen Anschrift der Redaktion: Kommission für Alte Geschichte und Epigraphik des Deutschen Archäologischen Instituts, Amalienstr, vol.73