. 21-chronicus-canon-aegyptiacus, . Ebraicus, and . Graecus, Histoire critique du Vieux Testament, éd. P. Gibert), l'ouvrage de Marsham n'aurait « point d'autre but que d'insinuer dans l'esprit de son lecteur que toute la, pp.796-797, 2008.

L. Le-premier-livre-est-consacré-aux-chaldéens, L. Perses, and . Sabéens, La perspective inaugurée par Pléthon est inversée : ce sont les Chaldéens (mis en relation avec Noé) qui sont

V. G. Bérose, J. M. Verbrugghe, and . Wickersham, Berossos and Manetho, Introduced and translated. Native traditions in Ancient Mesopotamia and Egypt, Ann Arbor Michigan, Au XVIIe siècle, on utilisait volontiers les Antiquités d'Annius de Viterbe (Giovanni Nanni) (Antiquitatum variorum, 1498), dont Scaliger avait dénoncé la fausseté. 26 Op. cit. Part XV, p.31, 2000.

. Op and X. Part, On notera que le titre de la traduction anglaise reprend celui du Commentaire court de Pléthon sur les Oracles : voir p, pp.52-55

J. Le-clerc, A. Barnes, J. L. Clerc-de-samuel, A. Golden, and J. L. Clerc, Voir aussi Luisa Simonutti (éd.) Arminianesimo e tolleranza nel Seicento olandese : il Carteggio, Ph. Van Limborch Signalons que l'abondante correspondance de Jean Le Clerc a fait l'objet d'une édition, Monarchie et république au XVII e siècle, pp.1657-1736, 1938.

M. C. Pitassi, Entre croire et savoir

P. Carrive and . La, dans les Court Maxims d'Algernon Sidney, Ch. Zarka (dir.), Monarchie et république au XVII e siècle, pp.103-105, 2007.

L. Clerc, Abrégé de l'histoire universelle (traduction de 1730), p. 12. 74 Voir la réflexion sur la « Monarchie, p.93

J. Voir and . Bernier, La critique du Pentateuque de Hobbes à Calmet, Libre pensée et littérature clandestine, 2010.

L. Voir-notamment, . X. Parrahsiana-anonymes-de-le-clerc-1, . Ouvrages, and M. L. Des-etudes-de, sq Van der Wayen attaque le Commentaire de Le Clerc sur Pentateuque, accusant Le Clerc de favoriser les sociniens ; celui-ci répond, sous le couvert de l'anonymat : « Si les Sociniens disent vrai, en quelque chose, & que quelcun le dise après eux, est-ce un crime & s'ensuit-il qu'on est de tous leurs sentimens, à cause de cela, Mr. L.C. n'est nullement Socinien, pp.341-403

J. Vorst-répondait-dans-la-disceptatio-de-verbo-et-sermone-dei-cujus-creberrima-fit-mentio-apud-paraphrastas-chaldaeos, O. , T. Hierosolymitanum, and . Jetzirah, Liber Creationis, qui totus est Caballisticus, imprimis celebris, Abrahamo Patriarcha à Cabbalistis perperam : ab aliis R. Akiba rectius adscriptus [?], Mantoue, 1562) Rittangel soutenait que les Paraphrastes chaldaïques connaissaient le Verbe divin. Mais Vorst répliquait que ces Paraphrastes n'admettaient pas une Parole incréée et subsistante par elle-même, mais la Parole créée et produite à travers laquelle Dieu s'était fait connaître aux hommes. La réponse de Vorst fut publiée beaucoup plus tard, sous le titre Bilibra Veritatis et, Praemissa est Disceptatio de Verbo Dei, cujus creberrima fit mentio apud Chaldaeos Paraphrastas [éd. posthume], Freistadt [Amsterdam], 1700. Cet ouvrage fut attaqué par Richard Kidder et Sébastien Edzardi, pp.1699-1700

P. Le-clerc, C'est Ph Van Limborch qui répond pour Le Clerc, et Van der Waeyen réplique dans Stephani Rittangelii Veritas Religionis Christianae, Articulis de Trinitate & Christo, ex Scripura, pp.408-408

L. Selon-le-clerc, «. Marques-de-la, ». Pluralité-en-dieu, and . Présentes-dans-le-livre-de-la-genèse, ne sont pas l'indice d'une pré-connaissance des personnes de la Trinité 82 ; il s'agit au contraire de véritables traces d'idolâtrie. Ainsi par exemple, à propos de Genèse 3,5 : « instar deorum » : Le Clerc explique que l'expression « les dieux » peut signifier « Dieu » lui-même, ou bien qu'il s'agit des anges qui

«. La-notion-de and . Commencement, de Genèse I, 1, permet de montrer que l'idée d'éternité du monde est une innovation des philosophes grecs. Selon Moïse, auteur présumé du Pentateuque, les cieux et la terre ont bien un commencement. Mais l'idée de l'éternité du monde ne vient pas des Orientaux (anciens Chaldéens, Phéniciens et Egyptiens), explique le Clerc qui se réfère à Stanley pour les Chadéens et à son oncle John Marsham pour les Egyptiens (« Philosophie orientale », I)

L. Mais and . Clerc, selon les Chaldéens et les Egyptiens ? si le texte qui nous est parvenu n'est pas corrompu ?, le monde était considéré comme plus âgé que chez les Hébreux, Quoi qu'il en soit, ceux-ci lui assignaient bien un commencement 86

L. Clerc and . Waesberghe, Genesis sive Mosis Prophetae liber primus Voir aussi la p. 4 de son Commentaire sur le Pentateuque sur Deus / Elohîm. 84 Sur ces trois mondes, voir Helmut Seng, pp.28-75, 1693.

J. Le and C. , Genesis sive Mosis Prophetae liber primus, pp.2-3

L. Clerc, Genesis sive Mosis Prophetae liber primus, p.3

L. Clerc, Genesis sive Mosis Prophetae liber primus, pp.7-8

. Le-premier-terme, 1132 c 12) repris par Pléthon (oracle 32 de mon édition) ; le second (« Assembleurs ») apparaît dans plusieurs oracles conservés par les néoplatoniciens : fragments 32, 3 ; 80 ; 82, 2 ; 177, 2 ; 207, de l'édition d'Edouard des Places. 95 Opera Philosophica, t. II (Joannis Clerici Pneumatologia cuius subjecta est Thomae Stanleii Historia Philosophiae Orientalis), Supports ») se trouve dans un oracle de la collection de Psellos Germania prima et novissima), 1710. Comparer avec Luciano Malusa, « Le prime storie generali della filosofia in Inghilterra e nei Paesi Bassi », dans Giovanni Santinello (éd.), Storia delle storie generali di filosofia, I. Dalle origini rinascimentali alla « historia philosophica, pp.165-402, 1698.

. Voir-georg-horn, . Historiae-philosophicae-libri, and L. Vii, 78 : « Unde non probabile & verissimum est, quod Beza in cap. 2. Matth. suscipicatur, falso Zoroastris nomine editos illos versiculos. Sunt enim recens Graeculi ejusdam Semi-Christiani commentum, cui nationi receptum quasi fuit, imponere caeteris » ; voir M, p.23, 1655.

J. 103-traduction-de, C. Mandosio, . Wirszubski, . Pic-de-la-mirandole, and . La-cabale, traduit de l'anglais et du latin par Jean-Marc Mandosio [traduction de Pico della Mirandola's encounter with Jewish mysticism, Considérations sur l'histoire des débuts de la Cabale chrétienne, pp.426-427, 1989.

J. Pic-de-la-mirandole, OEuvres philosophiques, texte latin, traduction et notes par Olivier Boulnois et Giuseppe Tognon, pp.66-67, 1993.

V. W. Sur-ce-dossier-complexe, D. Kroll, . Oraculis-chaldaicis, W. Breslau, and . Koebner, Pic de la Mirandole et la Cabale The Evolution of traditional Religious and Philosophical Systems, Syncretism in the West : Pico's 900 Theses, pp.426-430, 1486.

. Il-veut-montrer-que-le-zoroastre, Ioannes vero Picus, hos utrosque confundit, dum ad Ficinum scribens, gloriatur se Chaldaicos quosdam libros invenisse his verbis Chaldaici hi libri sunt, si libri sunt, & non Thesauri Audi inscriptiones. Patris Ezre, Zoroastris, & Melchiar Magorum, oracula. In quibus & illa quoque quae apud Graecos, mendosa, & mutila circunferuntur, leguntur integra, & absoluta. Tum est in illa, Chaldaeorum sapientum, brevis quidem, & salebrosa, sed plena mysteriis interpretatio. Est itidem & libellus, de dogmatis Chaldaicae Theologiae. Tum Persarum, Graecorum, & Chaldaeorum in illam divina, & locupletissima enarratio, quibus sanè Pici verbis, comiscentur sine discrimine

K. H. Dannenfeldt, The Pseudo-Zoroastrian Oracles in the Renaissance, Studies in the Renaissance, vol.4, pp.7-31, 1957.
DOI : 10.2307/2857138

. En-conclusion and . Le, Clerc comme chez Pléthon, l'approche des Oracles se veut strictement rationnelle ; avec Le Clerc elle est même historique et critique ; il s'agit toujours d'une religion « dans les limites de la simple raison ». Cette approche est-elle pour autant dénuée de tout ésotérisme ? A vrai dire, les deux interprètes doivent toujours prendre des précautions

J. Le-clerc-est-lui-aussi-condamné-À-l-'ésotérisme, Il souhaite s'installer en Angleterre, et obtenir une fonction dans la hiérarchie accueillante de l'Eglise anglicane Il lui faut donc donner des gages d'orthodoxie : c'est pour cette raison qu'il publie son Commentaire sur les 17 premiers versets de l'Evangile de Jean 118 . Mais il n'est jamais suffisamment « ésotérique » : il en dit toujours trop, et on le considère même comme l'un des plus grands sociniens du siècle ! Mais revenons aux Oracles. Le savant évêque d'Avranches, Pierre-Daniel Huet, conscient du danger qu'il y a à admettre l'authenticité de ces vers, les balaie d'un revers de manche affirmant que les Oracles de Zoroastre, commentés par Pléthon, et réimprimés dès 1689 à Amsterdam 119 , sont des faux

L. Clerc, Commentaire sur les 17 premiers versets de l'Evangile de Jean : XVIII Priora Commata capitis primi Evangelii S. Joannis paraphrasi et animadversionibus illustrata, p.1695

S. Chresmoi, H. Est-sibyllina, and . Oracula, Ex veteribus codicibus emendata, ac restituta Et Commentariis diversorum illustrata, Opera & Studio Servatii Gallaei : Accedunt etiam Oracula Magica Zoroastris Astrampsychi Oneiro-criticum (a Jos. Scaligero digestum et castigatum) etc. Graece & Latine, cum notis variorum, p.1689