. Xie-xiiie, Église en termes de fonctions Guy Bois accepte de voir dans le rôle de l'Église une fonction de reproduction : cela en effet n'est guère discutable : par le contrôle de l'enseignement, par le contrôle de la parenté, par le contrôle de l'expansion externe du système, l'Église a, en quelque sorte, autonomisé l'essentiel de la reproduction généralisée du système, ce qui, sauf erreur de ma part, constitua une nouveauté absolue dans l'histoire de l'humanité. Pourtant, il faut aller au delà de cette constatation. On a vu en effet que le système de production féodal, synthétisé dans le rapport de dominium, reposait sur deux piliers : le lien des hommes au sol et la cohésion de l'organisation de l'aristocratie. L'attachement au sol était un attachement avec les vivants et avec les morts. L'attachement avec les vivants fut doublement sacralisé et fixé : par le //205// mariage unique et indissoluble, par une parenté spirituelle proliférante. Mais l'attachement avec les morts ne fut pas l'objet de moins d'attention. Dès le Ve siècle, l'Église se préoccupa vivement de lier cimetières et églises : à partir du VIIIe siècle, tous les morts furent enterrés dans les églises ou immédiatement autour (phénomène bien mis en évidence par l'ouvrage de J La nouvelle séparation entre églises et cimetières se produisit au plus tôt à la fin du XVIIe ou au XVIIIe siècle. L'obligation de la messe dominicale était ainsi l'obligation d'une visite dominicale aux morts. Ce culte des morts, étroitement socialisé, fixé dans l'espace, imbriqué dans les aspects généraux et obligatoires du culte chrétien, apparaît comme l'une des garanties les plus solides de la stabilité des populations. Quant à l'organisation de l'aristocratie, cette fonction fut à peu près monopolisée par l'Église jusqu'au XIIIe siècle ; elle dut par la suite la partager avec les États A partir de cette conversion, Église apparaît comme la principale force motrice du système féodal Jusqu'au XIIe siècle, l'incorporation d'une terre marginale au système féodal se faisait par la conversion des aristocrates au christianisme le seul contrepoids efficace à la logique tribale et guerrière qui articulait l'aristocratie féodale : d'où l'importance absolument fondamentale d'une séparation extrême entre l'ordo clericorum et l'ordo laicorum, il y allait de la survie du système en tant que tel, pp.71-87, 1978.

O. Au-bas-empire, Église en constituait une pièce capitale et sans laquelle il était absolument inconcevable : l'Église s'est substituée avec très peu d'à-coups à l'organisation étatique romaine étiolée. L'Église contrôlait donc en réalité très étroitement les aspects essentiels du rapport de dominium, et il apparaît en définitive nécessaire de dire que l'Église organisait non seulement la reproduction, mais les rapports mêmes de production

J. Voir-À-ce-sujet-un-exemple-magistralement-suivi and . Schmitt, Le saint lévrier. Guinefort, guérisseur d'enfants depuis le XIIIe siècle Il reste pour parachever cette analyse, à voir rapidement comment les aspects que l'on range d'ordinaire sous l'étiquette de « religion » (liturgie, théologie, architecture religieuse) ont contribué à l'oeuvre de cohésion et de sacralisation du système féodal Une bonne analyse sociologique et structurale de la messe reste à faire Une simple étude de statistique linguistique sur les textes de l'ordinaire et du propre serait certainement très éclairante Je me contenterai ici de quelques observations bien impressionnistes. La première partie de la messe est centrée sur l'équilibre entre les lectures (épître, évangile propre du temps) et le credo (texte le plus fixe, sinon le plus fondamental), le pont entre ces deux aspects étant assuré par le prône, c'est-à-dire la parole consacrée de l'Église au siècle Cette partie articule donc, chaque dimanche au moins, le temps et le savoir Le schéma temporel est à peu près celui-ci : 1. temps du cycle liturgique annuel : lectures du propre, 2. temps ecclésiologique : prêtre qui parle, 3. temps des générations : fidèles qui écoutent, 4. temps ecclésiologique (éternité) : récitation commune du credo Le schéma du savoir : 1. vérité du Livre, 2. apostolicité de l'Église, 3. humilité des fidèles, 4. affirmation commune d'une foi fixe. L'Église (clergé) est ainsi ancrée à la fois dans le temps et dans l'éternité, reconnue et proclamée comme détentrice du savoir sacré et intermédiaire nécessaire entre Dieu et les hommes La deuxième partie de la messe est articulée en trois temps : offertoire -sacrifice -communion. Ce sacrifice, sensiblement différent des sacrifices grec et juif, me semble surtout fonder une réciprocité non symétrique qui s'exprime sous deux formes : maître/serviteur (dominus/famuli), et père/enfants. Les fidèles offrent le pain et le vin en suppliant qu'il soit accepté (offertoire) ; le prêtre les consacre ; puis les fidèles demandent « panum nostrum quotidianum » que Dieu accorde par pure indulgence (communion) Le modèle du rapport dominus/famuli est évidemment sacralisé au maximum ; une deuxième fois le prêtre est l'intermédiaire nécessaire, puisque c'est le sacerdos, l'homme consacré et consacré au sacrifice, qui exécute l'opération essentielle de la consécration. Il me semble qu'on n'a pas réfléchi assez au sens capital de la transsubstantiation, qui est au fond la justification ultime de la dissymétrie du modèle. La doctrine de l'Église est en effet que le pain et le vin offerts changent totalement de substance ; la consécration est formellement une rupture absolue entre le naturel et le surnaturel, entre le profane et le sacré : l'hostie de la communion est presque sans rapport avec l'hostie de l'offertoire On voit ainsi apparaître en toute clarté la triple opposition qui me semble à la racine du féodalisme : profane/sacré, fidèles/clergé, serviteurs/maître, Dans cette perspective, on comprend mieux pourquoi, aux XVIe et XVIIe siècles, les querelles autour de l'eucharistie firent périr des foules considérables Supprimer la transsubstantiation, c'était presque directement s'attaquer au rapport féodal, et Luther le comprit parfaitement, qui s'appuya sur les nobles et maintint la transsubstantiation. Calvin, qui s'appuyait plutôt sur des groupes bourgeois, sinon des paysans, l'écarta. A ce moment, la Réformation prit vraiment un sens antiféodal Supprimer la transsubstantiation, c'était aussi s'attaquer à l'Église et poser le sacerdoce universel Supprimer la transsubstantiation, c'était enfin chasser le surnaturel, saints, reliques, miracles ; Dieu devenait fort abstrait, et la nature entièrement connaissable, ainsi d'ailleurs que la société : l'idéalisme critique fut porté par des protestants. Et au fond, dès le XVIe siècle, l'idée même de contester le principe de la transsubstantiation supposait, au moins chez quelques individus, l'idée que la nature se suffisait à elle-même, c'est-à-dire l'agnosticisme sinon l'athéisme : les artistes de Nuremberg évoqués par Jean Wirth (voir plus haut) apparaissent presque exactement là où il fallait les attendre Quoique ce ne soit jamais dit, le problème ici débattu est fort simple : l'individuel, c'est le nominalisme, le général, le réalisme, Dès lors que l'Église perdit au profit des États une partie de son rôle d'organisation de la classe féodale, sa domination devait se trouver contestée par lesdits États, et c'est bien ce qui se passa à partir de Philippe le Bel. Cependant, le système désormais « plein » supposait un raffermissement constant des divers contrôles déjà en place. On voit ainsi commencer au XIIIe siècle une lutte pluriséculaire contre tout ce qui échappait encore au contrôle ecclésiastique La théologie (« philosophie du Moyen Age ») est une affaire de bien moindre portée, dans les arcanes de laquelle on trouve pourtant de bonnes occasions de divertissement. Il est clair (! ) en effet que la totalité de ceux qui en traitent aujourd'hui ont pour préoccupation primordiale d'interdire au vulgaire l'accès de cette science en utilisant un langage amphigourique, beaucoup plus embrouillé encore que celui des auteurs étudiés. Si toutefois, armé d'un mâle courage, on arrive à percer le nuage, le spectacle est guilleret. Voyez par exemple, en plein XXe siècle, un bon franciscain voulant venger son confrère Ockham de Duns Scott : Camille Bérubé, O.F.M. cap., La connaissance de l'individuel au Moyen Age La chronologie de l'affaire et les prises de positions des auteurs notables sont très claires : le nominalisme va d'Abélard à Luther, le réalisme, c'est saint Thomas et Duns Scott. Les positions théologiques du Doctor subtilis et du Venerabilis inceptor peuvent paraître complexes, il suffit de connaître leur vie : Duns Scott générales et le soutien de la papauté. La question des rapports de l'architecture à la structure sociale a pris avec Erwin Panofsky l'éclat des grands moments de la pensée. L'essai moins connu d'André Scobeltzine (L'art féodal et son enjeu social, 1973) est une très pénétrante étude de l'opposition roman/gothique, où l'on voit comment deux grammaires morphologiques et architecturales représentent abstraitement deux formes de la société féodale. Il faudrait analyser dans la même perspective l'évolution musicale. Je me contenterai d'un seul rapprochement, 1964.

. Cluny-Était-dans-le-royaume, un paysage décharné et violemment coloré par les strates sédimentaires bariolées ravinées en bad-lands, se dresse une petite construction cubique d'allure presque anodine : l'ermitage de San Baudelio de Berlanga La description interne en est difficile. La partie principale du bâtiment dans laquelle on pénètre par une unique porte sur le flanc nord, est à peu près carrée (7,5x8,5 m) ; en son centre, un grand pilier se termine par un faisceau en forme de palmier, dont les branches recouvrent le carré ; sur la droite quand on entre, c'est-à-dire dans le fond de l'édifice, occupant la moitié du carré et accolée au pilier central, s'élève jusqu'au tiers de la hauteur intérieure une sorte de « mini-mosquée » soutenant une tribune à laquelle on accède par un petit escalier ; sur cette tribune, accolée encore au pilier central, se dresse une sorte de petite cabine en pierre/ les « branches du palmier » est aménage un autre petit réduit surmonté lui-même d'une mini-coupole de style musulman. A l'est du cube principal s'ouvre une petite abside très légèrement surélevée, et elle-même à peu près cubique. Enfin, dans le mur oriental de l'édifice, à l'opposé de la porte, et sous la « mini-mosquée », une ouverture assez basse donne accès à une grotte (l'église est construite sur une pente) composée de plusieurs petites salles successives taillées dans la roche Au total, cet ensemble est divisé, en plan, en trois parties : la grotte, le carré et l'abside ; en élévation, également trois parties : le niveau du sol, la tribune On voit donc que cet édifice, malgré ses dimensions minuscules, est d'une complexité très étrange ; à cela s'ajoute un ensemble de fresques très étrange également, et que je renonce à décrire (on y voit un chameau, un éléphant, des saints, etc.). J. Fontaine écrit : « franchie la double porte à la courbe mauresque, on sort de ce désert pierreux pour entrer dans les fantasmes d'une architecture de rêve. Le mirage est ici à l'intérieur, comme il se doit en ce logis mystique des descendants spirituels de saint Antoine. Dès longtemps, la singularité des structures internes de cet édifice a intrigué et même déconcerté les archéologues qui ont tenté de se l'expliquer. Pourtant la parenté de son parti avec les grands thèmes symboliques du « paysage ascétique », tels qu'ils apparaissent dans la littérature monastique des premiers siècles, nous paraît offrir un principe d'explication, à la fois adéquat à son objet et fort éclairant, de chacun des éléments de cette architecture » (pp. 238-239). L'édifice fut donc probablement conçu et réalisé pour servir de terrain de « parcours mystique » : la configuration repose sur des symboles qu'on retrouve dans les fameux Beatus de la même époque. L'unicité absolue de l'édifice suppose à la fois une hardiesse d'imagination et une sorte de groupe d'initiation anachorétique également unique. San Baudelio fut construit sans doute au XIe siècle dans l'espace incontrôlé et dangereux qui séparait le royaume chrétien des terres musulmanes. Si l'on admet que le palmier était ici l'image matérialisée de l'échelle mystique de la terre à Dieu, on en arrive à la conclusion qu'aux confins du système, le christianisme se muait en une sorte d'individualisme mystique refermé sur lui-même et cherchant à abolir par ses seules forces la distance de l'homme à Dieu. Si l'on revient à Cluny, le contraste éclaire : d'un côté, au centre, le modèle surdimensionné de l'art roman à son apogée ; de l'autre, aux confins les plus exposés, un édicule hors de toute généalogie ; d'un côté, une abbatiale faite pour accueillir des foules innombrables et célébrer des liturgies grandioses, de l'autre, un petit cube de pierre, trapu et onirique, seulement conçu pour l'élévation mystique de quelques anachorètes qui emportèrent son secret en mourant. On pourrait longuement prolonger et raffiner cette véritable opposition structurale. La position et la forme extrêmes de ces Elle tirait cette force et cette possibilité de contrôle de son organisation, à la fois étroitement liée à l'aristocratie pour sa reproduction biologique et rigoureusement séparée de toute la société laïque par le célibat de tous ses membres : cette séparation concrétisait socialement l'opposition sacré/profane, sacralisait davantage et protégeait les clercs, sinon leurs biens, Cette position centrale ainsi que la relative prospérité localeordre clunisien contrôlait 1184 maisons en 1109. Ce qu'on pourrait appeler le surdimensionnement de l'abbatiale était évidemment l'image pure de la tête de cet empire sans équivalent. A une soixantaine de kilomètres au sud-ouest de Soria deux bâtiments suggèrent avec une étonnante vigueur le caractère parfaitement systémique du monachisme au XIe siècle et démontrent par là-même la force considérable enfermée dans les représentations matérielles élaborées par l'Église. Fétichisation, transmutation, représentation : on pourrait spécifier ainsi les fonctions exercées par la pratique dite « proprement religieuse » de l'Église, qui, sous des formes très variées et complexes, permettait d'asseoir fermement dans les esprits les principes du féodalisme. L'Église a incontestablement dominé tous les aspects du système féodal européen. Contrôlant l'enseignement et la parenté, elle en contrôlait la reproduction. Assurant, seule jusqu'au XIIIe siècle, partiellement ensuite, les fondements essentiels du rapport de dominium, elle contrôlait par là-même les rapports de production deux points essentiels : 1 -ce schéma ne concerne que l'Europe, et en le construisant, je me suis interdit par principe de me demander s'il était ou non extensible : la question n'aurait de sens que s'il était d'abord reconnu rationnel et explicatif, pp.227-246, 1977.

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