. Cf, . Lévy, and O. Cicero, , pp.284-285

O. Cicero, « l'eu[ logon, c'est la raison pratique envisagée non pas du point de vue de sa capacité à accéder à la perfection morale, mais dans sa confrontation avec les incertitudes nées de l, pp.279-280

. Cf, La même doctrine est appliquée à la narratio

, Sur ce sujet, notamment en lien avec le caractère volontaire des passions de l'orateur, cf

N. Emanuele, ». In, and E. Narducci, qui remarque : « Le passioni dell'oratore si presentano come qualcosa di ben diverso da banali perturbazioni dell'animo ; si tratta piuttosto di passioni suscitabili a piacimento, i cui panni l'avvocato può indossare o smettere a seconda delle esigenze della causa, e senza che per questo gli si possa rimproverare una bassa finzione : perché si tratta sempre di emozioni reali, anche se sapientemente pilotate, Bur, p.95, 1994.

, Sur cette section du De officiis, cf. Giovanna GARBARINO, « Il concetto etico-politico di gloria nel De officiis di Cicerone, Cet extrait est attribué à Panaetius frg. 95 v. S. = test. 117 A, p.252, 1980.

A. E. Cf, M. Douglas, . Tulli-ciceronis, and . Brutus, , 1966.

, 114 et 10,74, où l'orator est remplacé par les singuli e populo. Sur ces textes très étudiés, cf. notamment Elmar SIEBENBORN, Die Lehre von der Sprachrichtigkeit und ihren Kriterien. Studien zur antiken normativen Grammatik, Deux autres taxinomies des locuteurs figurent en ling, vol.9, pp.113-114, 1976.

«. Garbarino and ». Verba-poetica, , pp.181-183

L. Valeria, ». , and M. Dell, 164-176 ; sur la catégorie des poètes chez Varron : Giorgio PIRAS, Varrone e i poetica uerba. Studio sul settimo libro del de lingua Latina, pp.94-105, 1994.

D. Jacqueline, . Varron, and L. Dans-le-de-lingua, Papers on Grammar, vol.6, pp.97-122

P. Pace, «. Von-martitz, and . Verus, Glotta, vol.46, pp.278-293, 1968.

«. Rissanen and ». Some-aspects, Cf, vol.46, pp.113-114

. Cf, La question des influences philosophiques du De lingua Latina est extrêmement complexe. L'apport essentiel du Portique est quand même indéniable, car Varron lui-même déclare s'inspirer à la fois de sources stoïciennes et grammaticales : non solum ad Aristophanis lucernam, Temps et détermination dans la grammaire et la philosophie anciennes, Münster, Nodus, vol.48, pp.127-143, 1997.

. Cf, C. Franco, S. Su-varrone-etimologo-e-grammatico, L. N. Firenze, M. Italia-;-alain et al., Sur l'importance de natura et usus dans le livre 9 du De lingua Latina, cf. Wolfram AX, « Pragmatic Arguments in Morphology : Varro's Defence of Analogy in Book 9 of his De Lingua Latina, Chrysippus et Antipater et [?] Aristophanes et Apollodorus (ling. 6,2), pp.105-119, 1981.