Le Seigneur d'En-haut (Sangje ou Shangdi) selon les lettrés confucéens coréens des 17ème et 18ème siècles au contact du catholicisme - HAL-SHS - Sciences de l'Homme et de la Société Accéder directement au contenu
Pré-Publication, Document De Travail Année : 2005

Le Seigneur d'En-haut (Sangje ou Shangdi) selon les lettrés confucéens coréens des 17ème et 18ème siècles au contact du catholicisme

Résumé

Il s'agit de présenter un cas de ré-appropriation de la tradition locale au contact avec une civilisation étrangère, du confucianisme à la rencontre avec le catholicisme dans une Corée du 18e siècle en l'occurence. La réapparition d'une divinité de la Chine ancienne pour évoquer la nécessité de la religiosité à la morale semble être inspirée par le dieu chrétien. Le principe structurant ou « ce par quoi tout est ainsi », qui correspondrait chez les néo-confucéens au « Faîte Suprême » (t’aegùk en coréen, taiji en chinois), participe du Souverain d’en haut, divinité transcendante et personnelle. Ce dernier permet à l’homme d’avoir une conscience morale et au travers de cette dernière l’homme se rend compte de cet Etre suprême. Objet de culte d’autrefois, le Souverain d’en haut est ainsi placé à l’origine du sens moral des êtres humains. Le rite sacrificiel offert au Souverain a pour but d’inspirer la piété morale. C’est à travers un rite sacrificiel que l’homme rencontre plus sensiblement cet Etre, le fondement du sens moral confucéen.
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  • HAL Id : halshs-00360040 , version 1

Citer

Daeyeol Kim. Le Seigneur d'En-haut (Sangje ou Shangdi) selon les lettrés confucéens coréens des 17ème et 18ème siècles au contact du catholicisme. 2005. ⟨halshs-00360040⟩
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