D. Oschinski, Walter of Henley and other Treatises on Estate Management and Accounting, Ibid, vol.334, issue.282, p.286, 1971.

. Jean-de-brie and . Le-bon-berger, Le vrai règlement et gouvernement des bergers et bergères, tr. fr. M. Clévenot, Étrepilly 1979, 106. 73. G. Astill et A. Grant, « The Medieval Countryside : Efficiency, Progress and Change », dans The Countryside of Medieval England, G. Astill et A. Grant éds, pp.213-247, 1988.

A. Le-grand, I. P. De-natura-loci, H. Hossfeld, and . Stadler, Opera omnia Münster 1916?22, II, 1408. 79. Pierre de Crescent, Ruralia commoda, IX, 66, 77 (cit. n. 75), III, 102, 116. 80. Nous ne faisons qu'effleurer l'énorme oeuvre zoologique d'Albert, 28 et Idem, De animalibus, XXII, 1980.

C. Au-xvii-e-siècle, R. Harper-bill, and . Harvey-Éds, Scarron), alors que la fauconnerie aura perdu son importance, un autre proverbe le remplacera : bon chien chasse de race. 88. D. Evans, « The Nobility of Knight and Falcon », dans The Ideals and Practice of Medieval Knighthood III, 89. A. ? Git . r¯ ?f ibn Qud¯ ama al ? Gass¯ an¯ ?, Traité des oiseaux de, pp.79-99, 1990.

N. Möller, présente ces distinctions dans une perspective strictement ornithologique. Voir le cas très intéressant du lanier, faucon des zones arides qui, transporté dans les régions humides de l'Europe, chasse fort mal et qui, pp.68-70, 1967.

A. Le-grand and . De-animalibus, II La liste d'Albert pose, du reste, des problèmes ornithologiques, voir Van den Abeele, La fauconnerie au Moyen Âge (cit. n. 90), 45?91. À l'opposé du De animalibus, Frédéric II se désintéresse totalement de la noblesse des faucons (Frédéric II, De arte venandi cum avibus, Voir aussi : R. S. Oggins, « Albertus Magnus on Falcons and Hawks », dans Albertus Magnus and the sciences, J. A. Weisheipl éd, pp.1453-93, 1942.

A. Le-grand and . De-animalibus, (cit. n. 78), II, 1465. Si les enfants des faucons noirs transportés en Occident restent noirs, c'est que les faucons se, p.10

D. Gace-de-la-buigne, L. Roman-des-deduis, and É. Å. Blomqvist, Karlshamm 1951 (avant 1377) les oiseaux ont la part belle, le nombre de vers traitant du chien est le double de celui reservé au faucon. Enfin, dans Guillaume Crétin, Débat de deux dames sur le passetemps de la chasse des chiens et oyseaulx, 1526.

. Sur-ces-nouvelles-valeurs-voir-ici-miramon, Ce parallélisme se remarque aussi dans le langage avec lequel on s'adresse aux chiens courants : G. Tilander, Mots hypocoristiques adressés aux chiens », dans Nouveaux mélanges d'étymologie cynégétique, G. Tilander éd, pp.136-68, 1961.

. Cf and . Cadden, Meanings of Sex Difference (cit. n. 49), 134. 121. Voir ici Miramon

I. De and S. , dans ses Étymologies, glose le sens original de consanguinitas dans le droit successoral , où le terme renvoie aux seuls parents par les mâles (naturels mais aussi adoptifs), par un renvoi à la théorie aristotélicienne de l'hématogenèse du sperme (Roumy, mais cette analogie physiologique ne joue pas de rôle significatif dans les débats des civilistes médiévaux sur la consanguinité