S. Roger, «. Schriftlichkeit-otto-gerhard, O. Werner, P. Göttingen, &. Vandenhoeck et al., Adelsbesitz und adliges Handeln im 13 Jahrhundert », Nobilitas. Funktion und Repräsentation des Adels in Alteuropa, pp.67-100, 1996.

. Le-cas-chinois-est-À-cet-Égard-exemplaire, le wenyan, langue graphique créée par les scribes au II e millénaire avant J.C. et utilisée aux niveaux politico-religieux de la société, n'a survécu que peu de temps à la mort de l'Empire au début du XX e siècle ; l'écriture courante encore en usage aujourd'hui (bai hua) est apparue au X e siècle dans un autre contexte socio-politique : Léon VANDERMEERSCH, Écriture et langue graphique en Chine », Le Débat, pp.62-61, 1990.

S. Geoffroy-de and S. , claustrum sine armario quasi castrum sine armamentario : lettre 18, Patrologiae? series latina (éd, J.P. Migne)

/. Latin and . Diefenbach, Moyen anglais, 1993.

. Xvi-e-siècle, Dictionnaire de la langue française du seizième siècle, 1932.

. De-civitate-dei, XVIII-48 : per significantem locum, ille qui eo significatur intelligendus est? Quoniam omnia significantia videntur quodam modo earum rerum, quas significant

J. Peter, G. Hagen, K. Klaus, G. Nikolaus, S. München et al., La différence nécessaire entre mots « scriptibles » et lettres lisibles renvoie d'une part au fait que l'existence du « mot » en tant que notion particulière dans l'intellect n'implique en aucun cas sa transcription séparée sur la page (de la même manière que, lorsqu'on parle, les mots s'enchaînent sans interruption, Segments graphiques du français. Pratiques et normalisations dans l'histoire la fonction démarcative revenant aux accents toniques et aux longueurs de voyelles), et d'autre part au fait que ce que les notaires et écrivains prétendent écrire, ce sont des mots (cf. notamment tous les vidimi et insertions de documents antérieurs, que l'on prétend recopier « mot pour mot »), pp.283-292, 1992.

M. Rosamond and «. , Text and Image in the Carolingian World », The Uses of Literacy in early, Medieval Europe, R. MCKITTERICK dir, pp.301-304, 1990.

S. Grégoire-le-grand, . Curschmann, . Mckitterick, ». Text?, P. Michel et al., Sur la mixtion littera-pictura dans la langue vernaculaire, cf. les exemples de romans de chevalerie français, ) et allemands (Prosalancelot) donnés par Horst WENZEL, Hören und Sehen, Schrift und Bild. Kultur und Gedächtnis im Mittelalter, pp.214-215, 1995.

P. Jean-gérard, L. , and «. L-'esperluète-généralisée, De l'idéogramme dans l'écriture du français, pp.62-74, 1990.

. Cf, G. Notamment, and . De-recherche-d-'écouen, 39-66 comment le sens d'un document (les auteurs maintiennent un usage généralisé ? et non questionné ? du mot « texte ») est construit non seulement par le contenu écrit, mais aussi (et avant même la lecture) par le moment auquel le document est fourni, l'identité de celui qui le fournit, la nature du support, les aspects formels (format, typographie, couleurs), la disposition du texte sur la page, la présence d'images ou d'idéogrammes. « L'acte lexique » ne repose en effet ni sur le déchiffrement (lettres ou syllabes) ni sur l'oralisation (reconnaissance phonétique, mais sur la mémorisation de « l'image du mot » (avec son orthographe !), ce qui rapproche considérablement la lecture d'une langue écrite alphabétique de celle d'une langue idéographique?, 1984.

. Cf and T. Christian, La vision béatifique des disputes scolastiques à sa définition par Benoît XII, La vision béatifique : enjeux théologiques et politiques », Le Moyen Âge aujourd'hui?, pp.223-246, 1995.