À. De-taine, Flaubert répond en ces termes : « l'hallucination proprement dite n'est pas autre chose, ? pour moi du moins. C'est une maladie de la mémoire, un relâchement de ce qu'elle recèle. On sent les images s'échapper de vous comme des flots de sang. Il vous semble que tout ce qu'on a dans la tête éclate à la fois comme les mille pièces d'un feu d'artifice, et on n'a pas le temps de regarder ces images internes qui défilent avec furie, p.572, 1991.

«. L. Aussi-gisèle-séginger, ontologie flaubertienne -une naturalisation du sentiment religieux », Revue des Lettres modernes, Gustave Flaubert, 3 (mythes et religions -2), pp.63-85, 1988.