«. Il-faut-ici-prendre-le-second, ». , and ». , 60 Foucher de Careil, op. cit., t. I, p. 10-11. 61 Propositiones Quaedam Physicae Propositio 30 ; A VI-3 56, spn. 62 déc. 1675, in Jagodinski, Leibnitiana. Elementa philosophiae arcanae, de summa rerum, Paris : Aubier Rauzy, p. 30. 69 Définitions Rauzy, p. 110. 70 De ente, existente, aliquo, nihilo et similibus, A VI-4-A 570. 71 Vorarbeiten zur Characteristica Universalis. Definitionentafel avril 1676, A VI-3 511, spn. 73 Quoiqu'en dise l'auteur : « C'est pourquoi, je ne crains pas de le dire, j'approuve plus de choses dans les livres d'Aristote ???? ??????? ????????? Bodéüs, op. cit, pp.91-1672, 1669.

. La-première-couche-repose-elle-même-sur-une-hypothèse-préalable, Elle s'énonce alors : « est existant ce qui plairait à un esprit et ne déplairait pas à un autre esprit, plus puissant ». Il y a donc à ce stade deux conditions cumulatives de l'existence : plaire à un esprit quelconque, d'une part, et ne pas déplaire à un autre esprit, plus puissant que le premier, d'autre part. Notons la double négation de la formule « ne pas déplaire », qui logiquement se ramène à « plaire » mais dénote quelque chose de plus : cet esprit plus puissant a la faculté d'annuler les prétentions du candidat à l'existence si (et par ce seul fait) celui-ci ne lui plaît pas, certains esprits existent En d'autres termes : le fait de plaire à un esprit quelconque est une condition certes nécessaire mais insuffisante de l'existence, tandis que le fait de déplaire à un esprit plus puissant serait, cette fois, une condition nécessaire et suffisante de l'inexistence

J. Moreau and L. 'univers-leibnizien, GP I 73 Paris : Vitte ; réed. 1987 : Olms, p. 203 : l'existence « correspond au maximum de détermination ou d'essence. Or, ce maximum n'est atteint que dans l'individualité ». 81 Contrairement à l'interprétation réaliste de J. Bouveresse, pour qui « Il est clair que le possible et l'impossible, chez Leibniz, sont des propriétés objectives des choses ou des états de choses, indépendantes de nos capacités de concevoir et d'imaginer), il nous semble possible de défendre une interprétation anti-réaliste, que partagerait sans doute Deleuze : « Le monde n'existe pas en soi, le monde, c'est uniquement l'exprimé. Le monde entier est contenu dans chaque notion individuelle, mais il n'existe que dans cette inclusion. Il n'a pas d'existence au dehors. C'est en ce sens que Leibniz sera souvent, 79 Recherches générales sur l'analyse des notions et des vérités La théorie du possible chez Descartes », Revue internationale de philosophie le monde n'existe que dans les substances individuelles qui l'expriment » (cours sur Leibniz du 15 avril, pp.247-249146, 1980.

. Distinguer, il lui suffit d'être davantage harmonique : l'existant, qui est le maximum compossible, est du même coup le maximum harmonique. Exister, c'est donc être le plus harmonique : « le terme qui est élu est le plus harmonique : 82 Jagodinski, op. cit., p. 32. 83 Comme dit M. FICHANT, « 'Pour la beauté et pour l A VI-4-A 867. 85 De arcanis sublimium vel de summa rerum, 11 février 1676, A VI-3 476, Leibniz : le meilleur des mondes KOISTINEN & A. REPO, « Compossibility and Being in the Same World in Leibniz's Metaphysics », Studia Leibnitiana, pp.172-211, 1992.