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T. Laurent, L. Paris, . Découverte-tonneau-dominique-soins, A. Lyon, and . Oui, est pas marqué, mais ils ont prévu une journée-consultations sans précisions, alors peutêtre qu " ils viendront là : je n " en sais rien. La pression monte ? Non. Franchement, honnêtement, pour les équipes, ce n'est pas leur problème De toutes façons, moi, je leur ai dit de ne pas s'angoisser. Ca ne rimerait à rien On en est où on en est Il faut être honnête Je ne sais pas si vous avez vu : il y a plein de cartons dans le hall d'entrée, parce qu'on n'a pas les locaux pour stocker, on n'a pas les conditions de travail pour travailler normalement Donc il faut être honnête, il ne faut pas se voiler la face On fait aussi bien qu'on peut, on a essayé de mettre en place certaines choses comme le dossier patient, on a essayé de progresser, mais on s'est limité à des choses réalistes : on ne peut pas inventer des locaux. Vous n'avez a priori pas de grandes craintes à avoir, dans un service réputé comme le vôtre ? Oh, si. Il y aurait beaucoup de choses à faire. Par exemple, on a des gens qui sont en aplasie, sans défense immunitaire, et qui devraient être obligatoirement en chambre seule, protégée, et bien, ils sont en chambre double. De toutes façons, on n'a pas assez de personnels pour faire les nettoyages nécessaires pour des chambres protégées. Et dans les chambres doubles, les gens sont mélangés. Vous voyez, c " est pour cela que je vous dis qu " il faut être réaliste. Les médecins le sont, de toutes façons. On ne peut pas inventer ce qu " on n " a pas. Cela étant dit, il y a quand même des choses qui viennent de changer, juste avant la visite. Par exemple ? quelque chose de tout bête ? les vestiaires des personnels n'avaient pas jusqu'à maintenant de sacs de linge pour mettre les tenues sales, donc les agents se changeaient, prenaient leurs tenues sales et remontaient avec les tenues sales dans les services. Vous imaginez ? Il y a trois jours que des sacs ont été mis en place. C'est quand même dommage qu'il faille toujours un bâton pour faire bouger. Ils sont aussi en train de repeindre les sous-sols, ils mettent des panneaux d " affichage, ? Ils ne pourront pas tout cacher, dans une si grosse institution. Mais bon, on peut aussi le voir comme un point positif : ça fait un peu bouger les choses. Le tout, c " est que cela ne retombe pas après. Vous craignez que cela retombe ? Oui, d " après ce qu " il se passe ailleurs, je le crains. Vous êtes contente que les experts ne passent pas dans le service ? Ils peuvent venir, ça m'est égal. Ils viendront peut-être d'ailleurs, ils peuvent toujours décider à la dernière minute de ce qu'ils veulent faire. Moi, je les attends même, j'attends que ça, qu'ils viennent : ils verront dans quelles conditions on travaille, et comment on accueille les consultants. Ils verront. Parce que là, s " ils veulent nous bloquer sur la confidentialité, ils peuvent, du 11 au 15. Ils vont venir dans ce service ? Sur le planning je ne cacherai pas ce qui est la réalité. C " est ce qu " on s " est dit avec le chef de service, au sujet des cartons qui stagnent partout : on s " est dit « c " est certainement pas pour l " accréditation qu " on va cacher tout cela ». Non, je vous le dis, on est assez serein par rapport à l " accréditation, 1996.

R. Hôpital, C. , H. Hôpital, C. Rhône-alpes, and . Hcl, environ 250 lits Hôpital psychiatrique, Rhône-Alpes, PSPH, environ 300 lits Hôpital MCO, Rhône-Alpes, PSPH, environ 200 lits Centre de Réadaptation Fonctionnelle, Rhône-Alpes, privé PSPH, environ 70 lits Hôpital, Ile-de-France, CHU, APHP, plus de 1000 lits Hôpital, Ile-de-France, CHU, APHP, environ 600 lits Hôpital, Ile-de-France, CHU, APHP, environ 800 lits -Sur la participation, soit individuelle, soit conjointe des deux chercheurs, à 30 réunions ou commissions sur la « qualité » ; -Sur la conduite de 40 entretiens conduits auprès de responsables de l " ANAES, de l " APHP ou des HCL, experts-visiteurs, chefs d " établissements, responsables qualité, représentants des médecins (présidents de CME), direction de soins, médecins, cadres infirmiers, infirmiers, aides-soignants, agents de service hospitalier, Sur l'observation de 3 séances de restitution de visite (2 restitutions « test V2 » pour lesquelles nous avions reçu le sésame officiel de l " ANAES, 1 restitution V1

. Notons-enfin-qu, Comité de Coordination de l le 8 octobre 2004, nous a permis d " une part d " évaluer la réception et/ou la pertinence de nos hypothèses et premiers résultats chez les professionnels de l " hôpital, d " autre part de compléter nos matériaux d " analyse par l " observation in situ des discours de différents porteurs de la qualité, depuis les infirmiers, les cadres infirmiers, les médecins, Evaluation Clinique et de la Qualité en Aquitaine)

«. Les and . Indigènes-»-de-la-qualité, offres invite à se centrer sur la pérennisation et la valorisation de la qualité telle qu " elle est pensée dans la démarche d " accréditation, il n " est pas inutile de rappeler la pluralité des perceptions de la qualité chez les professionnels de santé, parce que cette pluralité et la gestion de cette pluralité dans la démarche d " accréditation sont sans doute à la base des conditions de pérennisation et de valorisation de la seule qualitéaccréditation (hypothèse que nous aurons l " occasion d " étayer au cours de cette partie) Rien de tel pour cela que de recourir aux discours des acteurs, 1994.

A. La-question and «. Est, amélioration de la qualité ? », 100% des personnels des services logistiques et administratifs, des personnels des services médico-tehniques, des directeurs des soins