temps collectif et de temps familial, figure bien sur la couverture : une image idéal-typique de la société traditionnelle et de sa temporalité circulaire Changement net en 1999 : c'est alors une seule photo qui « enveloppe » le livre. Celle-ci est reproduite dans la préface de la nouvelle édition, avec une autre photographie, sous la légende : « La mémoire regardée et commentée. Les habitants de Minot visitant l'exposition de photographies, anciennes et contemporaines, présentées à l'école du village en juillet 1973 ». Toutes deux ont été prises à cette occasion par Françoise Zonabend. La focale s'élargit, on constate bien que l'homme de la couverture n'est pas seul : ils sont deux peut-être trois autour de la photographie, pp.10-11 ,
Pour faire son deuil, il faut intérioriser la perte. Pour soutenir la mémoire ,
« Le patrimoine : une "filiation inversée, pp.74-75, 2000. ,
Le public et ses problèmes, 1927. ,
De l'archive à l'emblème, Les lieux de mémoire. t. III : Les France, pp.977-1012, 1992. ,
2003 « Publics ou populations ? La démocratie culturelle en question, de l'utopie écomuséale aux « espaces intermédiaires Le(s) public(s) de la culture. Politiques publiques et équipements culturels, pp.299-308 ,
« Éléments d'histoire culturelle d'un haut fourneau lorrain Chronique patrimoniale Autour de l'industrie, histoire et patrimoine. Mélanges offerts à Denis Woronoff, pp.373-393, 2004. ,
Une perspective post-industrielle de la Lorraine sidérurgique » in : Jean-Claude Daumas (dir.), La mémoire de l'industrie : de l'usine au patrimoine ,
« De l'objet et de sa restitution en anthropologie », Gradhiva, pp.3-14, 1994. ,
Préface à la seconde édition, pp.7-33 ,