«. La-restauration and . Le-roi, de la traduction (p. 75) des lignes A, ii 13'-14' n'est pas rendue dans la transcription

D. Dans and K. Savoir, 8), iii 6' lire KASKAL-an à la place de KA?-an

A. Le-passage-de, se traduit plus précisément : « Dans l'enclos les moutons idem (et) dans l'étable les boeufs furent étouffés » où KI.MIN est à traduire par « idem » ou « ditto » selon la tradition hittitologique. La traduction « de même » peut en effet porter à confusion car elle est généralement employée pour rendre l'akkadogramme QATAMMA. Cette remarque est valable pour le reste de l'ouvrage de M. Mazoyer, dans lequel KI

A. Dans, -9' on pourrait traduire le passage de cette façon : « L'ovin refusa son agneau et le bovin refusa son veau
URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/pasteur-00684218

A. Dans, 11' gimra-est plutôt à traduire par « lieu sauvage, steppe »

«. Beckman, . City, and . The-country-in-hatti, Landwirtschaft im alten Orient, pp.161-169, 1999.

A. Dans, halzai? se traduit plus littéralement par « il appela » d'où les sens de « il convoca, il convia ». La traduction « [alo]rs » de n[u ? -k]án ? de A, i 32

A. Dans, idalu est plutôt à traduire par le terme plus général de « mal ». Dans A, ii 6' a?k-doit plutôt être traduit par « porte » que par « seuil

A. Dans, [kitta] étant restauré, il faut indiquer « est posée » entre crochets dans la traduction

«. La-traduction, aide de) l'ai[le] » ne coïncide pas avec la restauration partauwa

«. La-traduction and . Castrez, du verbe kar?-« couper » dans A, iii 5 n'est pas convaincante. Il s'agit à mon avis plutôt du geste de l'égorgement sacrificiel

L. Traduction, M. De, . Kam, and . Hi, A -a? dans A, iii 28-29 et surtout dans A, iii 33 s'éloigne de l'expression hittite qui signifie mot à mot « longues années

A. Dans, auteur a omis de traduire QATAMMA « de la même manière, de même » qui constitue ici un élément important puisqu'il établit le lien entre la phrase dans laquelle il se trouve et celles qui précèdent. ?awar est généralement traduit par « rancoeur » par l'auteur alors qu'il l'a rendu par « irritation

D. Le-terme and A. Gìr-de, qui peut également être transcrit par D SUMUQAN (voir HZL n°301) n'a malheureusement pas été traduit par l'auteur. Il s'agit du nom d'une divinité responsable des troupeaux (voir van Gessel, Onomastikon II, p. 636-637 avec sa bibliographie )