V. Contemporaine-de-sanche and . De-navarre, lui-même arrière-petit-fils du Cid par sa fille Christine, qui meurt en 1194

. Ibid, notamment : « por cumplir lo que el Cid mandó hazer en dicho suelo y por la devoción que él tuvo a San Lázaro, p.305

. Martinez-et-l-'univers-légendaire-du-cid, tient à ce que l'invention des Enfances est datée d'environ 1300 et que Palencia et sa contrée jouent un rôle de premier plan dans leur version poétique attestée, peut-être primordiale : la Chanson de Rodrigue 72

A. Rodrigue-présente-avec-celui-du-non-moins-historico-légendaire and . Martinez, du testament de 1302 et de ses rejetons plusieurs analogies Le héros des Enfances descend de l'alcalde Laïn Calvo par la branche cadette de sa progéniture Au terme d'une série de prouesses réalisées au service du roi Ferdinand (Ier) de Castille, Rodrigue, devenu le principal conseiller du monarque et doté par lui d'une vassalité de neuf cents chevaliers, accède à un rang qui le rapproche des riches-hommes. Dans le même temps, la geste se plaît à déclasser ironiquement son héros

A. Martinez and . De, Dans la même veine, c'est encore par une étrange parade de vilenie que Rodrigue, parvenu pourtant au faîte d'une ascension qui l'a conduit à 71 Chanson : ibid, pp.249-250

C. Chronique-de, (pour Rodrigue seulement, car le pèlerinage de Ferdinand ne figure pas dans la version historiographique des Enfances). G. MARTIN, Chansons de geste espagnoles, pp.314-316

. Chanson, 303-305 : « Tras ellos salio el conde con çient caualleros fijos dalgo./ Rebtando agrandes bozes. a fijo de layn caluo./ dexat mjs lauanderas. fijo del alcalde çibdadano ». MARTIN, Chansons de geste espagnoles (« Avec cent chevaliers gentlshommes, le comte les a pourchassés, Le fils de Laín Calvo, à grand'voix, fut défié:/ 'Fils de l'alcade citoyen, mes lavandières me rendez !' »), pp.237-215

«. Devenir-une-sorte-de and . Du-monarque,-s-'emploie-À-rendre-au-comte-de-savoie, qu'il s'apprête à combattre, sa prévisible défaite plus cuisante : « Tornat vos, dixo, latinos, al conde con mj mandado Et dezilde que non so rico njn poderoso fidalgo Mas so vn escudero, non cauallero armado, Ffijo de vn mercadero, njeto de vn çibdadano. Mi padre moró en rúa et siempre vendió du paño. Ffincaron me dos pieças el día que fue finado. Et commo el vendio lo suyo, vendré yo lo mío de grado, Ca quien gelo conpraua, mucho.l costaua caro, Pero dezjlde al conde que de mj cuerpo a tanto Que de muerto o presso non me saldría de la mano, p.75

. Ibid, Chansons de geste espagnoles, p. 233 : «'Latins, dit-il, au comte ce message rapportez:/ Riche ou puissant gentilhomme, je ne l'ai jamais été ;/ Simple écuyer je suis, non chevalier armé,/ Petit-fils de citoyen et fils de boutiquier ;/ Mon père vendait son drap dans une rue de la cité ;/ Le jour où il est mort, deux pièces m'en sont restées ;/ De même qu'il le vendit, je vendrai le mien de gré/ Car qui le lui achetait payait plus cher qu, pp.265-266

. Que-le, Alphonse Martinez ait (peut-être) été appelé Rodrigue pourrait aller dans ce sens (cf