. Jurgens, ) ; t. ii, pp.722-760, 1612.

C. Massip and «. Facteurs, Les inventaires sont établis respectivement en 1629, 1631, 1624 ; on y dénombre des violons de Crémone 11. on ne trouve chez lui que deux cornets, l'un façon d'angleterre, l'autre façon de Paris, et un violon de Crémone déjà monnayé par sa veuve (op. cit., t. i, p. 244). 12. sa collection, inventoriée à son décès en 1648, est l'une des plus impressionnantes, avec ses nombreux luths, théorbes, guitares, violes, et son jeu de flûtes douces (op. cit., t. i, pp. 286, 287). 13. on recense à son domicile en 1617, un luth de Padoue, un autre de Venise, deux luths de « melchiere » (?) (sans doute du facteur michele, actif à rome vers 1526-1527, cf. giancarlo rostirolla, « strumenti e costruttori di strumenti nella roma dei Papi, Instrumentistes et luthiers parisiens Restauro, conservazione e recupero di antichi strumenti musicali, maria Canova, giancarlo gatti, oreste Zurlini, pp.26-30, 1982.

. Voir-jan-heidner and . Neuf-lettres-au-comte-carl-gustaf-tessin, Le soleil et l'Etoile du Nord. La France et la Suède au xviii e siècle, cat. exp., Paris, grand Palais, Premier Architecte von Stanislas Leszczynski in Lothringen, pp.1743-1748, 1984.

. Berlin and . Verlag, note 450. 76. Pour une bibliographie sur ces automates, voir albert Cohen, Music in the French Royal Academy of Sciences. A Study in the Evolution of Musical Thought, pp.167-168, 1973.

F. Bergot, Dessins de la collection Robien, rennes, musée des Beaux-arts, s. d. Voir plus particulièrement dans ce catalogue d'exposition son introduction « Christophe-Paul de robien, pp.13-21, 1971.

J. Frèches and . Le-goût-asiatique-des-robien, 82. inventaire 794-1-706. 83. inventaire 794-1-707. Voir aussi m. andré, Catalogue raisonné du Musée Archéologique de la ville de Rennes il y fait allusion dans son Code de musique pratique paru en 1760. Voir l'article fondamental d'andré schaeffner, pp.39-42, 1868.

P. M. Mémoires-sur-la-musique-des-chinois, . Amiot, A. Missionnaire, and . Pékin, Paris, 1779 ; reprint : genève, minkoff, p. 18. Les instruments en question sont décrits pp. 18 et 19 : un kin, vièle à sept cordes ; un king ou pierre sonore ; un cheng, ou orgue à bouche ; un diapason ou bâton harmonique, gravé avec les dimensions des principaux instruments chinois. Voir également dans ce volume l'article de François Picard, Joseph-marie amiot simone Balayé, La Bibliothèque nationale des origines à 1800, pp.68-85, 1988.

T. Abbé-de, . Xxx, H. Paris, and . Bullion, 8-11 mars 1818, indique en effet dans son avertissement : « Plusieurs objets provenant de la vente du cabinet de feu m. Bertin, ministre et secrétaire d'etat sous Louis xv et Louis xvi, ajoutent encore de l'intérêt à cette collection