G. Ge?tin, . Hád, and . Du, A de KUB 17.12 iii 10' n'est pas accompagné d'un pronom démonstratif, contrairement à ce que suggère la traduction « questa uva passa

/. Il-serait-préférable-de-traduire-n and H. ?akuwa, balaie le mauvais oeil (mot à mot 'les mauvais yeux') » plutôt que par « e [cer]chi il male con i (suoi) occhi », car ?akuwa est un nom.-acc. neutre pluriel, et non pas un instrumental45 iii 50, [?]uppi? A-anza serait plutôt à traduire par « eau (con)sacrée », suite à la distinction que H. A. Hoffner faisait entre les adjectifs ?uppi-et parkui-dans son article Agricultural Perspectives on Hittite Laws § 167-169, Acts of the IIIrd International Congress of Hittitology, p.162, 1996.

«. Un-verbe-dérivé-de and . Tourner, tel que « retourner » ou « se détourner » aurait été préférable à « s'éloigner » pour traduire EGIR-pa ne

. La-forme-conjuguée-uemizzi-de-kbo, 112 Vo 15' et 16' est à traduire par le verbe « atteindre

D. Vbotkan and K. , arha merdu se traduit plus précisément par « Que ta colère, ton courroux (et) ta fureur disparaisse(nt)! » 120: L'auteur s'étonne de la mention LÚ MUDI//?U « son mari » dans KBo 12.126+ iii 12' au côté de DAM//[?U] « [sa] femme » à la ligne 11'. Si l'on considère le caractère asexué du sumérogramme UN (à l'instar de son équivalent hittite antuh?a-), cette énumération n'est pas vraiment surprenante en soi. L'incantation décrite dans cet extrait semble envisager le cas où le patient est de sexe masculin tout comme celui où il s'agit d'une femme. On pourrait par conséquent rendre cette énumération de la manière suivante

L. Rituel and K. , 58+ i décrit une double action de l'eau: elle a aussi bien le pouvoir de purifier (parkuni?kizzi) et que de consacrer (?uppiyahhi?kizzi) toutes choses. Cette précision me paraît intéressante et mériterait d