. Venant-du-lieu and . Sa-limite-est-son-bord, Comme tout lieu se définit par ces deux origines en termes de déplacement, nous appellerons limite la somme

S. Le-lieu-n, est pas seulement une approche mise en oeuvre sur un espace d'observation, délimité par les seules limites de l'observation, mais également un espace qui peut être distingué de son environnement, non pas au seul titre de la délimitation de l'observation, mais parce qu'il possède des limites configurantes

. La-virtualité-d, La suite ne traite qu de la première catégorie, elle-même composée de deux parties La première correspond à sa dynamique propre ou interne. C'est ce que la vie du lieu propose en terme de changement, considérant que le lieu, comme toute organisation, possède une part stabilisée et une part changeante Cette dernière est le résultat de ce qui se passe dans un lieu de façon plus ou moins récurrente et qui ne correspond pas à son projet initial. Le lieu, de part son activité, les actions qui le caractérisent, engendre possiblement sa propre évolution, il s'auto-organise. Cette virtualité interne est inscrite dans l'actualité du lieu et définit son propre projet. La seconde correspond aux projets attribués aux lieux par une autorité organisatrice quelconque. Ces projets définissent la virtualité externe du lieu. Elle peut également être présente au sein de l'actualité du lieu, de multiples façons, du simple affichage d'un projet de transformation du lieu, à des activités humaines, de présentation de projet à des formes de contestation. Les projets du lieu, entendus comme étant ce qu'il cherche à être, résultent donc d'une interaction entre deux systèmes d'action. Nous dirons que l'un correspond à ce qui s'y passent, l'autre à ce projète l'autorité du lieu, privée ou publique. Cette interaction entre ces deux systèmes d'action n'est pas la condition du projet du lieu, projeter la transformation d'un lieu renvoie tout d'abord à une compréhension de son actualité qui établit sa part stabilisée et sa part changeante ou auto-organisée