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. La-statue, je ne sais pas de quelle époque elle est, la statue, moi je l'ai toujours vue, une fois même elle a été décapitée, accidentellement et puis on en a refait une autre, enfin je veux dire il y a toujours eu des messes, moi j'ai connu Mgr Chave, le vicaire général d'Aix qui disait le 24 mai au matin une messe pour les voyageurs dans la crypte, moi j'ai connu cette époque là dans les années 50, pp.52-53

À. De-cette-notion-de-visibilité-et-des-tsiganes-voir-bordigoni and M. , Gitane : la fin de l'écran de fumée ?" Pp. 189-201 in Femmes entre ombre et lumière. Recherches sur la visibilité sociale (XVIe-XXe siècles, 2000.

P. Williams, The Invisibility Of The Kalderash Of Paris : Some Aspects Of The Economic Activity And Settlement Patterns Of The Kalderash Rom Of The Paris Suburbs, Urban Anthropology, vol.11, pp.315-347, 1982.

. Iii-un-tableau-d-'émile-loubon-conservé-au-museon-arlaten-intitulé, Vue prise dans la Camargue" représente un campement de glaneuses sous le tubaneauLa Camargue dans la première moitié du XIXeme siècle. Essai d'étude sociale Aix en Provence. v "On raconte des "histoires" troublantes sur les prétendues cérémonies qui se déroulent la nuit dans la crypte. Nous y avons vu des hommes qui discutaient entre eux, tout en fumant. Quelques uns, étendus dans un coin, très peu nombreux d'ailleurs, car le sol est humide, iv qualificatif donné par Danielle Bégot Bégot, Danielle, 1976.

T. Vi-entretien-avec-le-père-causse, eh dites pères venez vite dans la crypte il se passe des choses ah des choses qui sont pas catholiques, faut venir voir, alors le curé me dit " allez voir " , il y avait dans la crypte un gitan, il y avait une table, il y avait une fille gitane euh vêtue ce qu'il fallait pour la décence mais toute décolletée et puis le père avait un couteau à la main au-dessus de la fille, c'était une revue française je ne sais pas laquelle, de cette époque là, qui préparait un article sur les sacrifices humains aux Saintes-Maries-de-la-Mer, par les gitans ; hein et on avait graisser la patte aux gitans pour cette démonstration et alors, moi ça je vous parle parce que je l'ai vu, je vous le dirais pas si je l'avais pas vu , alors je lui dit " qu'est-ce que vous faites là ? " alors le gitan lui il était un peu embêté, que que ? ? on était en soutane à l'époque ? que le prêtre? ils avaient fait ça entre midi et une heure où il y avait pas tellement de grande foule à ce moment là d'abord je vous dis c'était deux trois jours avant l'arrivée de tous les pèlerins, et le gitan était un peu gêné, je lui dis " écoute je téléphone à la gendarmerie, aussitôt les gendarmes sont arrivés, et on a, on n'a pas coffré le type, mais on lui a fait rentrer tout son équipement, son appareil de photo(s) ? et tout et on en est resté là mais il préparait un article, Mais si je vous disais, 2001.

L. Vii-pourtant-les-vieux-saintois-soupirent-les-maille, L. Lombard, L. Matthieu, and . Baptiste, Le pèlerinage n'est plus ce qu'il était Ce ne sont plus de vrais Gitans Les "vrais" Gitans, à leurs yeux, c'étaient les Caraques, les Boumians, maquignons pour la plupart, que l'on connaissait et qui avaient pignon sur rue dans la région les Rey qui venaient chaque année en voisins et que la marquis de Baroncelli ne dédaignait pas de recevoir à sa table, Editions S.O.S, 1975.

D. Mer and . La-place-des, bohémiens " dans l'attrait touristique voir Bordigoni, MarcLe "pélerinage des Gitans", entre foi, tradition et tourisme Ethnologie française XXXII, pp.489-501, 2002.

. Ix-le-père-causse, lui il vendait ses camargues, les gitans lui achetaient des chevaux, enfin bref, il avait de bonnes relations surtout avec les gitans de la région de Saint-Gilles et il avait du mal à supporter que les gitans avaient pas leur place dans le pèlerinage ils avaient pas une place officielle c'est comme ça qu'il a fait la demande à l'archevêque d'Aix d'avoir la procession du 24 pour Sara, mais au fond c'était pour honorer les gitans mais aussi, hein, comme il était poète, hein, ça va nous rappeler l'arrivée des Saintes, alors à la fois il honorait les gitans il honorait la Camargue, parce que il y avait tous les gardians, parce que autrefois les gardians n'avaient pas la procession, c'est Baroncelli qui a fait rentrer? quand vous regardez les vieilles cartes postales, les premières photos où vous voyez les processions y a pas de gardians, y pas de chevaux, c'est Baroncelli qui progressivement a fait rentrer les ? " . x Voir à ce propos la revue Vie et Lumière et, Alors Baroncelli il recevait les gitans à sa table #184] xi Traduit par mes soins. xii " Quelle est la position actuelle de l'Église à l'égard du culte de Sara ? Nous avons posé la question à Mgr de Provenchères, archevêque d'Aix. Voici ce qu'il a bien voulu nous répondre, 1991.