Les pages référencées ici sont extraites de l'édition des Libraires et Marchands de nouveautés, pp.35-64, 1797. ,
Des émigrés français, ou réponse à M de Lally-Tolendal, Paris, Cercle-Social, 1797, p. 19. 48 Leuilete, p.20 ,
Le maître et l'infidèle. Des relations personnelles entre mari et femme de l'ancien droit au Code civil ,
Droit et morale conjugale : essai sur l'histoire des relations personnelles entre époux, p.88 ,
Le statut de la femme en France depuis la reformation des coutumes jusqu'à la rédaction du Code civil, p.483 ,
La capacité de la femme mariée et la puissance maritale dans l'élaboration du Code civil 82 Le code pénal de 1810 prévoit une peine de 3 mois à 2 ans d'emprisonnement pour la femme convaincue d'adultère ainsi que pour son complice (lequel devra payer, en outre, une amende de 100 à 2 000 francs) ; le mari adultère, et à condition qu'il ait entretenu sa concubine sous le toit conjugal, ne sera puni que d'une amende de 100 à 2 000 francs ; il n'y a pas de peine d'emprisonnement prévue pour lui, Revue de l'Institut Napoléon, n° 161 Et encore, l'adultère du mari faillit ne pas être considéré comme une cause de divorce. Cf. Jean- Michel Poughon, Le Code civil, op. cit, p.32, 1901. ,