. Ibid, On notera la présence du chat, souvent associé chez Barthes au thème du temps et indice privilégié de fictionalité : voir évidemment le chat jaune de l'abbé Séguin (« La Voyageuse de nuit », préface à la Vie de Rancé de Chateaubriand, texte repris dans les Nouveaux Essais critiques, pp.1173-1365

«. Je-n-'ai-d, autres solution que de me ré-écrire ? de loin, de très loin ? de maintenant ajouter aux livres, aux thèmes, aux souvenirs, aux textes, une autre énonciation, sans que je sache jamais si c'est de mon passé ou de mon présent que je parle », note Barthes. 30. O. C., III, p. 321. « Il est vrai que j'ai, avec les noms propres, un rapport qui m'est énigmatique, qui est de l'ordre de la signifiance, p.235

. Sur-le-plan-théorique, Barthes défend l'idée selon laquelle la « vérité n'est pas de l'ordre de la représentation, mais de celui du nom propre, tel que le définit Frege, thèse qu'illustrera par exemple le célèbre article sur « Proust et les noms, p.412, 1972.

R. Barthes-par-roland-barthes and O. C. Iii, Nous avons conserve la parenthèse, qui n'a d'autre justification que symbolique, le fragment étant isolé à la fin d'une chronologie, p.235

R. Barthes-par-roland-barthes, Thèse qu'on retrouve par exemple dans un projet d'article (recueilli dans O.C., III, p. 385-387) intitulé « Il n'existe aucun discours qui ne soit une fiction ». 33, pp.186-1192