. Il-faut-admettre-composé-privatif-i, *h 1 ·í-h 1 Ö r@[-? n « non-montée » qui serait un adjectif épicène du type de gr. ????? « sobre

. Dans-la-dérivation-nominale, *h 1 ·í-comme préfixe privatif est bien attesté en sanskrit classique : c'est le type skr. cl. vi-druma-« dépourvu d'arbres ». Pour le traitement phonétique, on peut poser i.-e. *h 1 ·í-h 1 Ö r@[-? n > *h 1 ·í-(h 1 )Ö r@[-? n > *h 1 ·í.r@[-? n « vierge

. Après-sonante, En l'état, le dossier phonétique implique une resyllabation de date indo-européenne de type i.-e. *h 2 ·eh 1 -¤t-ó-> *h 2 ·e(h 1 )-¤t-ó-> *h 2 ·e.nt-ó-m. « vent » (got. winds, qui est en propre le dérivé d'appartenance à v?ddhi du participe athématique *h 2 uh 1 -ónt-, *-¤t-és « rapide

L. Racine-sous-jacente-serait-i, *h 1 er@[-« monter, saillir » (LIV 2 : 238), qui ne fournit des formes verbales qu'en anatolien : c'est le hitt. arkatta [med

«. Il-monte and ». Renouvelé-en-hitt, Cette racine archaïque fournit l'assise verbale du nom indo-européen des testicules : gr. ????? (< *h 1 ór@[-i-), apparenté à l'arm. arm. orji-k c [pl. tant.] (< *h 1 or@[-i¼-ó-), ainsi qu'au v.-irl. uirgge f. « la région des testicules » qui reflète un ancien collectif i.-e. *h 1 or@[-i¼-éh 2 selon WATKINS (1975 : 12). L'av. ?r?zi [duel] reflète un étymon i.-e. *h 1 Ö r@[-í-h 1 « les deux testicules » 21 . Cette racine fournit en outre la désignation de l'étalon : lit. e??ilas (< i.-e. *h 1 or@, qui est apparenté au gr. ??????? m. « roitelet » 22 . Le védique possède une forme verbale presque toujours attestée au participe : ?gh?yánt-« excité, en rut, pourvu de puissance sexuelle » 23 . Il faut enfin citer le v.-isl. argr « homosexuel passif, p.25

. En-propre, ér@[-i-s « éjaculat, sperme » à l'origine du masculinatif secondaire *h 1 ór@[-i-s « organe qui produit le sperme ». Le même processus s'observe peut-être pour le nom de l'ovin : i.-e. *h 2 ó·-i-s « pourvu de laine, ovin », qui reflète un prototype médio-patient *h 2 ó·-i, *h 2 é·-i-s « laine » (< *« chose arrachée ») Le tokh. B ? u w « mouton » reflète un étymon aberrant *h 2 é·-i-(PINAULT, 1997 : 190 sqq.). On connaît le cas tout semblable du gr. ?????? « épais » qui se développe après Homère, lequel ne connaît guère que le neutre ????? (< *d[rób[-i). La formule hom. ????? ??µ? « la vague épaisse » (? 307) est en propre un ancien juxtaposé (*« le flot

. Par and . Fort-difficile, *-r@[-) dans le domaine sabellique : il s'agit de l'épithète osque verehasiúí [dat. sgl.] (TA A 11) qui se rapporte à Jupiter (diúveí) La forme est évincée par KATZ (1998 : 209, n. 72), mais il semble néanmoins possible d'en rapprocher la racine i.-e. *·er@[-« enclore, clôturer ». Sur la foi de l'épiclèse grecque de ???? ??????? « Zeus protecteur de la maison » 38 (dont l'autel était placé dans la cour) 39 , il paraît permis de reconstruire une désignation de l'enclos : it

. Le-thème-proto-sab, Au terme de cette étude, il paraît désormais possible de pouvoir proposer un étymon i.-e. *h 1 ·í-h 1 Ö r@[-? n « non-montée » (± hitt. natta=arkant-) pour rendre compte du lat. uirg? « vierge ». Cette étymologie permet de faire un sort à la loi phonétique i.-e. *-r@[-> lat. -rbposée par KATZ (1998) 40 . Cette loi semble fort n'être qu'une pétition de principe, et ne résiste pas à l'étude des données sabelliques, qu'il s'agisse du terme ombrien urfeta f

«. , ». ·er?-?si¼o-«-de-la-maison,-de-la-cour-, A. D. , and .. N. , Bien qu'il n'ait point conservé le terme hérité pour le nom des testicules (i.-e. *h 1 ór@ le latin posséderait une trace indirecte de la racine *h 1 er@[-« monter, saillir » dans le terme uirg? « vierge », qui est en propre un bahuvr?hi privatif en *h 1 ·í-, à l'instar du skr. cl. vi-druma-« dénué d'arbres » et de l'av The Latin sexual Vocabulary, « Les fondements indo-européens de lat. urbem condere », pp.825-840, 1982.

. 40-rappelons, auteur à des étymologies peu convaincantes, ainsi le lat. urbs f. « ville » qu'il rapproche du nom de la citadelle (i.-e. *b[« Ö r@[-) en admettant un schéma évolutif assez peu vraisemblable urbs < *orbs < *borbs

L. 'hypothèse-de-brachetun-nom-racine and *. , « périmètre » est plus satisfaisante Sur le vocalisme du verbe latin : étude synchronique et diachronique « Testimonia Ritus Italici : Male Genitalia, Solemn Declarations, and a new Latin Sound Law », Harward Studies in Classical Philology The Hittite Inherited Lexicon « Baltijskije i slavjanskije prodo?enija i.-e. *or?h-. Stat'ja I: lit. ì?ar?a i prasl. *k?norz?, Tum mihi pr?ma gen?s : Phraséologie et étymologie du lat. p?b?s », HS 123 Die lateinische Nominalflexion Latein und Indogermanisch. Akten des Kolloquiums der Indogermanischen Gesellschaft hrsg. von Oswald Panagl und Thomas Lindner Linguistica Baltica 3 Lateinische Laut-und Formenlehre Etymologisches Wörterbuch des Altindoarischen, pp.181-211, 1977.

-. , C. H. Leitung-von, H. Rix, M. Kümmel, T. Zehnder et al., Cuneiform Luvian Lexicon « Le type latin uor?g? : un reflet d'un suffixe indo-européen », Glotta 78 Lexikon der Indogermanischen Verben, Die Wurzeln und ihre Primärstammbildungen AEolic ??????? and Deverbative *-etó-in Greek and Indo-European, Studies in Hittite Historical Phonology Ergänzungshefe zur Zeitschrift für Vergleichende Sprachforschung Nr. 32. Terminologie du petit bétail en tokharienabrév. LIV 2 ) Untersuchungen zur nominalen Stammbildung des Hethitischen Wörterbuch des Oskisch-Umbrischen Etymological Dictionary of Latin and the Other Italic Languages Studies in Archaic Latin Inscriptions « A note on the Duenos inscription », UCLA Indo-European Studies 1 Altindische Grammatik und adverbium), pp.175-218, 1896.